Note de l'auteur
- Fleshlight Turbo Thrust Copper
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- Aspect
- Texture
- Utilisation
- Efficacité
Voici l’autre modèle de la gamme Turbo, le Fleshlight Turbo Thrust Copper ! En effet, il y a peu de temps, j’ai eu l’occasion de tester le Fleshlight Turbo Ignition, en version Blue Ice. Je vous avais indiqué que je réservais une édition Copper de l’autre gaine, c’est à présent chose faite ! Vous l’avez compris, aujourd’hui, je vais tester le Fleshlight Turbo Thrust Copper ! Dernièrement, j’ai testé pas mal de masturbateurs Fleshlight. J’ai eu l’occasion de vous présenter des modèles signatures, comme le Fleshlight Jenna Haze Obsession. Mais aussi, le Fleshlight Tori Black Torrid ou encore le Fleshlight Nicole Aniston Fit. Ici, on repart dans la gamme Turbo ! Le premier était conçu pour simuler la gorge profonde, chose qu’il fait plutôt bien. Le second fait la même chose, mais avec une gaine différente. Voyons en détail ce que vaut cette version !
Packaging du Fleshlight Turbo Thrust Copper
Sommaire
Concernant le packaging, on se retrouve avec la même boîte que la version Ignition. Nous avons une boîte noire avec une partie fenêtrée, pratique pour apercevoir le produit avant utilisation. Nous avons sur la boîte, le détail de la texture interne de la gaine et une description du produit. Du classique, mais de l’essentiel.
Dans cette boîte, on retrouve les mêmes éléments que d’habitude, c’est-à-dire, un petit livret, un échantillon de lubrifiant Fleshlube et le Fleshlight Turbo Thrust Copper, bien entendu. C’est donc la même chose que pour les autres modèles de Fleshlight. On ne change pas une équipe qui gagne. Autre point, la boîte est entièrement en carton, sauf la partie fenêtrée qui elle, est en plastique. Un peu moins bon pour l’écologie.
Aspect du Fleshlight Turbo Thrust Copper
Changement ou pas ? Pas vraiment. Enfin, il y a du changement, mais la base reste la même. Nous avons un masturbateur formé d’un couvercle de protection, d’une coque avec un grip dessus, d’une gaine et d’un bouchon. Un masturbateur Fleshlight est toujours constitué ainsi, sauf quelques exceptions comme le Fleshlight Quickshot Boost et le Fleshlight Quickshot Vantage. Cependant, par rapport aux modèles habituels, il y a des différences.
Une coque en plastique transparent
Tout comme la version Ignition, la coque de ce Fleshlight est transparente. On voit facilement la gaine à l’intérieur, c’est pratique et j’avoue que le rendu est satisfaisant, surtout avec cette belle couleur cuivrée de la gaine. Un système de grip est également présent sur la coque pour une meilleure tenue en main.
Une gaine non réaliste cuivrée Steam Punk
Parlons justement de cette gaine non réaliste et cuivrée. Dès qu’on la voit, on pense à l’univers Steam Punk ! Un peu la même impression que lorsqu’on a reçu l’Eroscillator 2 Deluxe. Cette gaine conceptuelle ne ressemble pas vraiment à un orifice existant. On dirait une sorte de pièce de moteur, avec un esprit mécanique, accentué par sa couleur cuivrée. D’ailleurs, on remarque plusieurs nuances de cuivrées sur la gaine.
Cette gaine est particulière. On y trouve une partie assez classique, le canal, mais l’ouverture et les premiers centimètres sont à part. Il y a des espaces ouverts, un découpage précis, c’est la même chose que sur la version Ignition. La seule différence, c’est le coloris et la structure interne. Cependant, sur la gaine Blue Ice, celle-ci étant légèrement transparente, on pouvait voir notre pénis dans celle-ci. Sur la gaine Copper, celle-ci est opaque et ne laisse pas le moindre aperçu.
Les mesures et dimensions
Pas de changement entre cette version Thrust et Ignition. D’ailleurs, les masturbateurs Fleshlight sont majoritairement de la même taille. Il y a bien sur quelques exceptions comme le Fleshlight Go Surge ou le Fleshlight Flight Instructor, mais la majorité suit les mêmes dimensions. Nous avons donc un masturbateur en forme de lampe torche électrique de 25 cm de longueur pour une pénétration maximale de 22 cm. Une partie de la gaine ne sera pas utilisée par tout le monde.
Question diamètre, sur la zone externe, nous avons 6 cm au plus bas et 9,5 cm au plus haut. La texture étant souple, même si votre pénis est large, il pourra rentrer sans problème. C’est donc une taille de masturbateur qui conviendra au plus grand nombre. Autre point, son poids. Il faut le savoir, un Fleshlight, ce n’est pas vraiment léger. Ici, il faut compter 628 grammes pour ce modèle Turbo Thrust !
Texture du Fleshlight Turbo Thrust Copper
Évidemment, pas de surprise, il s’agit de la même type de gaine que pour la version Ignition, en tout cas, question matière. On retrouve donc de la Real Feel SuperSkin ! Qu’est-ce donc ? C’est une matière sensiblement différente du SuperSkin classique. La matière colle un peu plus, mais elle est également plus souple. Sachant que cette gaine est censée reproduire la sensation d’une fellation et de la gorge profonde, on verra ce que cela donne.
Cependant, cela ne change en rien à ses caractéristiques premières. C’est gaine est hypoallergénique, elle ne contient ni phtalates, ni latex. Par contre, je pense que la gaine reste légèrement poreuse. Il est donc préférable de ne pas prêter sa gaine sous risque de transmission de maladie. Bon, après, ça reste chelou de prêter un masturbateur, je trouve. Par contre, il est à noter que la texture de ce masturbateur colle. Oui, elle colle ! Je l’ai déjà annoncé plus haut, mais c’est vraiment le cas. C’est assez surprenant, car habituellement, la texture est talquée. Ici, elle est à l’état brute ! Cela pourra en gêner plus d’un, mais de mon côté, j’ai réussi à m’y faire.
La texture Thrust Copper en détail
Comme on peut le voir sur le schéma ci-dessus, la gaine Thrust est légèrement différente de la gaine Ignition. Ici, on remarque toujours l’orifice neutre et une gaine décomposée en trois parties. On retrouve l’entrée, la même que pour la gaine Ignition. Puis, un tunnel composé de stries, de picots sur quatre niveaux. Puis, on atteint le gond de la gaine, avec de plus gros picots et des stries en fin de course.
Utilisation du Fleshlight Turbo Thrust Copper
Bonne nouvelle, se servir d’un Fleshlight nécessite toujours les mêmes opérations ! Pas besoin d’apprendre de nouvelles choses ! On procède toujours en commençant par retirer le couvercle. Puis, on retire le tube en plastique de protection, présent à l’intérieur de la gaine. On ajoute un peu de lubrifiant à base d’eau, dans la gaine et sur son pénis. Et on pénètre l’engin. Il suffira par la suite de se servir du bouchon pour apporter plus ou moins d’air dans le masturbateur afin de modifier les sensations. Mais il n’y a pas que cela à savoir à son sujet.
Choix du lubrifiant
Pour choisir son lubrifiant, c’est simple, il faut du lubrifiant à base d’eau. N’essayez même pas avec un lubrifiant à base de silicone, c’est un coup sûr pour détériorer la gaine. Vous pouvez utiliser l’échantillon de Fleshlube offert. Je trouve qu’il brûle un peu, mais c’est utilisable. Pour mes essais, j’ai utilisé le lubrifiant japonais Pussy Juicy Onatsuyu, mais vous pouvez prendre un autre lubrifiant à base d’eau bien entendu. Pour cela, notre page d’avis en lubrifiant pour vous aider dans votre sélection. Vous trouverez par exemple le très bon lubrifiant Sliquid H2O ou encore le Pjur Aqua.
Nettoyage du masturbateur
Le nettoyage de ce Fleshlight est un peu plus simple que d’autres modèles, mais de peu. Ici, la zone ouverte permet de facilement faire circuler l’eau et de le sécher plus rapidement. Le reste de la gaine est plus classique et nécessitera d’y passer un peu plus de temps. Vous pouvez utiliser aussi le nettoyant Fleshlight wash ou encore la poudre d’entretien Fleshlight. Pour en savoir plus sur le nettoyage, n’hésitez pas à consulter notre guide du nettoyage de sextoys.
Efficacité du Fleshlight Turbo Thrust Copper
C’est à présent le grand moment, celui de vous parler de son efficacité ! Que faut-il savoir à son sujet ? Est-ce qu’il faut se laisser séduire ? Est-il préférable de choisir ce modèle ou la version Ignition ? Voyons tout cela en détails !
Les sensations de la gaine
C’est toujours aussi sympa. Comparé à la version Ignition, les sensations sont un peu plus stimulantes. C’est un peu plus brut, plus intense. L’entrée de la première chambre n’est pas la plus évidente, car il faut faire entrer son gland dans le premier orifice, qui amène au second. On démarre assez vite en stimulation, l’effet de succion qui l’accompagne fonctionne bien. L’effet de constriction est un peu présent, uniquement bouchon fermé après une bonne accumulation de l’air. On retrouve un peu la sensation de la gorge profonde, notamment quand on tape au fond et qu’on ressort le pénis de la gaine. En effet, quand on retire le gland de l’orifice, cela provoque un petit effet ventouse, qui amène encore un certain degré de réalisme.
L’orifice en détail du Fleshlight
Comme pour l’autre modèle, il s’agit du même type d’orifice. Cette partie permet de provoquer un fort appel d’air sur la partie haute de la gaine, créant ainsi cette sensation de fellation. C’est un orifice qui n’est pas stimulant visuellement, mais sur le plan physique, il marche plutôt bien.
Bouchon ouvert / fermé ?
Avec le bouchon ouvert, peu de compressions. C’est la grande autoroute, on peut faire des grands va-et-vient sur toute la longueur du pénis sans la moindre opposition. Cela permet d’exciter doucement et de faire monter le plaisir en rythme. Avec le bouchon fermé, la compression est plus forte, l’effet de succion également. C’est bien réalisé et c’est efficace.
Bruit
Évidemment, ce masturbateur fait du bruit. Avec le bouchon fermé, on entend presque rien. Avec le bouchon fermé, ça commence à faire pas mal de bordel. Mais sur ce masturbateur, c’est un avantage. En effet, l’air qui rentre et qui s’échappe couplé à la structure de l’orifice permet de générer des bruits qui font penser à la gorge profonde quand le pénis commence à bloquer la gorge. C’est donc raccord avec le concept de proposer un masturbateur qui imite la gorge profonde.
Sensation de fellation et gorge profonde ?
Alors oui, la sensation de fellation et de gorge profonde se ressent. Ce n’est pas spécialement sur la gaine entière que l’on ressent cela, mais plutôt sur le premier tiers. L’orifice jouant beaucoup dans la circulation de l’air, on peut reproduire certains mouvements qui donneront quelques stimulations proches de l’acte. Je trouve d’ailleurs que l’effet est plus fort sur la version Thrust qu’ Ignition.
Dénouement de la séance
Eh bien, c’est très bon ! En 5 minutes, j’ai obtenu un orgasme. La stimulation est plus forte que sur la version Ignition. Si on bouge le Fleshlight juste après l’orgasme, la stimulation est forte. Le moindre glissement de la gaine sur le gland amène encore des tremblements. Pour ma part, je suis conquis par ce modèle. Certes, l’aspect réaliste prend un coup, mais la sensation physique s’améliore. Ce n’est pas juste un point marketing.
Conclusion sur le Fleshlight Turbo Thrust Copper
Est-ce que j’ai été conquis par ce Fleshlight ? Oui, quand même, dans l’ensemble, c’est un bon modèle de Fleshlight. Il est un peu plus « brutal » dans sa stimulation que la version Ignition, c’est donc une question de préférence. Certes, l’aspect visuel réaliste n’est pas là, par contre, on a une belle gaine cuivrée. D’ailleurs, sur les photos, je trouve que ça rend super bien. Ici, le plaisir physique est bien présent, ce n’est pas juste du marketing. Mais pour l’effet de réalisme, il faudra encore faire des efforts. En tout cas, c’est un modèle de Fleshlight qui a toute sa place sur le marché. Est-ce que je préfère la version Thrust ou Ignition ? Difficile à dire, ça dépend des moments. Mais, je préfère la couleur cuivrée, tout de même. Sachez d’ailleurs que chaque gaine existe en Blue Ice et Ignition ! Faites votre choix !
Merci de continuer à tester en prenant du plaisir les sex-toys pour hommes.
Au chapitre bruit, je n’ai pas compris, il y a doublon du mot fermé. Est-ce quand le bouchon est ouvert que c’est silencieux et plus bruyant quand c’est fermé ?
En lisant vos tests je partirai sur un go surge.
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