Il y a quelques années, j’ai rédigé plusieurs articles sur le bondage, mais à présent, il est temps de regrouper tout cela dans un guide sur la pratique du bondage afin de vous livrer quelque chose de plus complet et une synthèse des informations à savoir à ce sujet. Sachez-le, je ne suis pas un expert dans ce domaine. Cependant, je me suis beaucoup renseigné à une époque, j’ai donc appris beaucoup de choses sur cet univers et la manière de la pratiquer. Mon but est de vous proposer tout un guide pour découvrir la pratique du bondage ! Mais, cela ne doit pas vous empêcher de consulter d’autres sources d’information afin de vous faire votre opinion et de parfaire votre technique !

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Le bondage ! Voici un sujet qui me plaît et quand un sujet me plaît, j’ai tendance à écrire beaucoup à son sujet. Tant mieux me direz-vous, tout le monde est content, vous avez d’avantage à lire et moi j’ai d’avantage à écrire. Google n’a plus qu’à référencer. Mais, c’est avant tout sa mission informative qui m’intéresse le plus. Bref, au lieu de prendre une certaine liberté dans mon article, je vais faire un tour du coté du domaine du bondage et perdre temporairement celle-ci afin de vous présenter cet univers particulier et pourtant terriblement excitant. Bienvenue dans le monde du bondage !

Introduction à l’univers du bondage

bondage - guide d'introduction

Avant de commencer ce guide de la pratique du bondage, nous allons voir les bases, c’est-à-dire, ce que cela signifie, son origine, son histoire. Car mine de rien, ce sont des choses importantes à connaître. C’est un peu comme pratiquer un sport ou une activité, sans la comprendre, ni son origine, ni sa philosophie.

Le bondage, une question de soumission ?

Si je vous dis que je suis attiré par les relations et jeux de soumission et de domination, je suppose que vous n’être pas vraiment étonné et que vous avez déjà lu mes articles ou encore l’une de mes expériences de fessée. Donc si je vous dis que l’univers du bondage m’attire, rien de choquant pour le moment. Pourtant, avant même de m’y intéresser dans les détails, j’avais déjà eu l’occasion de découvrir cet art. Car si l’on utilise le terme bondage en France, c’est avant tout sous le terme Shibari qu’il est connu mondialement. Et je tiens vraiment à préciser que le Shibari est un véritable art. Un art ancestral.

L’art du Shibari ou l’art japonais

Étant amateur de la culture japonaise (principalement, au niveau du cinéma, de la littérature, mais également des coutumes), le Shibari était donc un art que j’avais déjà vu au cinéma dans des films d’exploitations ou encore dans quelques simulations de jeux de puzzle inspiré de l’art de Shibari. À vrai dire, avec l’apparition ou plutôt l’acceptation dans notre société des pratiques SM soft dans la vie sexuelle, cela a permis de s’intéresser à ce qu’il se passait un peu autour de nous et notamment, à l’inspiration japonaise et son ligotage.

Les adeptes du bondage parleront d’une sorte d’art de vivre de l’expression de leur sexualité. Une relation de grande confiance des pratiquants. Malgré tout, le Shibari est surtout lié au domaine de la mise en scène plutôt que des sévices. Ce n’est pas une pratique douloureuse, c’est une pratique qui demande de la connaissance et de la maîtrise.

Le Shibari et son histoire

À son origine, le Shibari issu de l’âge Sengoku (~1450) n’a jamais disparu. C’est logique, puisque je vous en parle aujourd’hui. Il servait à l’origine à ligoter des prisonniers de guerre pour les torturer. C’est à l’ère Édo (1600-1868) que le Shibari est devenu ce qu’il est aujourd’hui, un art. Entre les estampes japonaises et les théâtres kabuki, les ouvrages et les films de la Nikkatsu, le bondage va sans doute connaître un essor plus important dans les années à venir. De toute façon, ne le cachons pas, les couples de nos jours, sont souvent à la recherche de nouvelles sensations, le bondage en est une. Il faut cependant faire attention à cette pratique. Il ne faut pas faire n’importe quoi. Une sécurité et une envie particulière doivent se manifester pour pratiquer cet art en toute sérénité.

Le plaisir, rituel et langage dans le bondage

guide bondage - plaisir et rituel

Sécurité, premiers pas, mais le plaisir dans tout çà ? À vrai dire, il y a plusieurs formes de plaisir dans une séance de bondage, mais c’est avant tout un plaisir cérébral, même si son penchant physique est bien présent lorsqu’on devient à l’aise avec cet enchevêtrement de cordes autour de son corps. Mais où réside réellement le plaisir d’une séance de bondage ? D’où t-il tire sa source ? Je vais tenter de vous apporter quelques explications et informations à ce sujet.

Le bondage et le plaisir du dominé

Le plaisir du dominé réside dans le fait de s’abandonner à l’autre. Celui-ci se laisse littéralement aller, sans tabous, sans complexe, avec une confiance absolue pour atteindre un orgasme sans retenue. Il peut ainsi se sentir allégé de toutes décisions à prendre, il devient libéré en étant attaché. Curieux paradoxe. Pour aller plus loin, le dominé attaché, privé de certains sens est amené à se concentrer sur les autres, amplifiant ainsi leurs ressenties. Se restreindre dans ses mouvements ou sa parole amène la réception de nouvelles sensations. De plus, le dominé peut se sentir honteux, livré à une forme d’exhibition forcée l’amenant à vivre de véritables montées de sensations.

Et pour celui du dominant ?

Du coté du plaisir du dominant, il se retrouve dans une situation de pouvoir total. Il peut commander sa proie, manipuler celle-ci, devenir le metteur en scène du plaisir de l’autre pour l’amener à l’orgasme. Mais pour ceux ayant une fibre artistique, c’est le sentiment de réaliser une œuvre d’art vivante. C’est d’ailleurs un vrai régal pour les yeux, notamment lorsqu’il s’agit de bondage réalisé par des maîtres en la matière.

Le langage et l’attitude du bondage

Si vous ne l’avez pas compris, le bondage est donc un véritable rituel. Il est question d’attitude et de langage. Respecter l’autre, être honnête, le soumis ou le dominant doit obtenir du plaisir. Le cadre de votre séance doit correspondre à votre attitude. Le code vestimentaire est également important. Soie, velours, cuir, masque, cordes bien blanches, godemiché esthétique représentant une certaine pureté. Gardez également à l’esprit que l’art du Shibari, c’est du sérieux.

Concernant le langage, on se situe dans l’univers du BDSM, de la perversion. Alors ne restez pas sur le banc de touche, lâchez-vous ! On ne parle pas de chiffons mais de bondage ! Il y a tout un vocabulaire qui tourne autour de cette pratique. Dans cet art, le silence à son pesant, les mots marquent le plaisir, la tonalité son impact. Un maître qui ligote sa proie doit se faire respecter et surtout trouver les bons mots. Lorsque l’on domine une séance de bondage, la proie reste à sa position. Ne vous amusez pas à saluer une/un soumis(e), on n’est pas dans une séance de retrouvailles devant un bistro. Sachez être bref et clair dans les ordres que vous lui donnez. Ne jouez pas que de vos caresses, alterner avec quelques griffures par exemple. Mais ce n’est pas tout, au niveau langage, le/la soumis(e) doit savoir répondre et obéir. Respectez mais garder une réserve, être insolent mais garder sa place de proie, c’est un subtil mélange.

Comment faire ses premiers pas dans le bondage ?

guide des premiers pas dans le bondage

Faire ses premiers pas dans le bondage, ce n’est pas évident. Mais à présent que vous avez lu les règles de sécurité, on va faire connaissance avec les bases du bondage. Et si vous n’avez pas lu celui-ci, je vous invite fortement à le consulter. Débutez une séance de bondage sans mesurer les risques et les conséquences de vos actes n’est vraiment pas recommandable, car à présent, on va parler de vos premiers pas dans le domaine du Shibari, un art difficile à apprendre et à maîtriser. D’ailleurs, vous pouvez retrouver nos tests de la corde de bondage de Pipedream ainsi que la Bondage Tape pour vous donner des idées d’accessoires qui peuvent servir pendant une séance.

Vos premiers pas

Pour faire ses premiers pas dans le bondage, il faut déjà amener son partenaire à vouloir s’y essayer également. C’est tout de même plus simple que de l’attacher de force. Comme toujours, si votre couple est complice et le dialogue bien instauré, il sera bien plus facile d’amener le sujet de la discussion sur le bondage. Mais faites çà bien avant de vouloir pratiquer. Inutile d’en parler au cours d’un dîner pour pratiquer le soir même. Mettez bien les choses au point et un soir, laissez-vous aller à la tentation. C’est tellement mieux lorsque c’est inattendu.

Les questionnements

Plutôt que de vous poser des questions au cours de la séance, posez-les bien avant. Le jour J, il vous suffira d’attacher votre partenaire sans lui demander. Si elle est hésitante, insistez ! Si elle tente de s’échapper, rebellez-vous ! Dans tous les cas, le « code » de sécurité est là pour véritablement mettre fin à la séance. Si elle se rebelle sans faire appel à ce code, c’est qu’elle agit ainsi pour jouer le jeu. Et puis, n’oubliez pas, le bondage reste un jeu. Une première séance de bondage ne sera pas celle que vous imaginez tels les films que vous avez pu voir au détour d’un site internet. S’attacher en s’amusant, en rigoler, en changeant de rôle, toute cette phase de découverte se transformera petit à petit en plaisir léger avant de vous rendre compte que celui-ci s’intensifiera avec cette sensation de perte de liberté.

Un acte et une expérience mystique ?

Pour une partenaire ayant des appréhensions, il faut savoir démystifier la pratique. Ce n’est pas un univers glauque, mais un univers du monde de l’art. Pour être persuasif, présentez-lui de belles photos de cette pratique. C’est déjà un bon moyen de se rendre compte de la chose. Mais ce n’est pas tout, il faut également convaincre les complexés, névrosés, les timides. Être moins à son avantage, être ridicule ou être moche dans une telle situation, toutes ces questions doivent rester au placard. À vous de rassurer votre partenaire sur cette pratique. Le bondage, c’est beau. Le bondage peut mettre en valeur le corps. Inutile d’épiloguer dessus, si la personne est partante et que votre attitude est rassurante, l’aventure devrait avoir lieu.

L’envie et les mesures de sécurité dans la pratique du bondage

guide de la sécurité dans la pratique du bondage

Parlons sécurité dans l’univers du bondage. Comment savoir si on est prêt à vouloir s’essayer au bondage ? Si vous avez de temps en temps, quelques rêveries de soumission ou de domination, vous avez sans doute quelques envies dans le domaine du BDSM. Il ne vous faudra que quelques minutes pour vous rendre compte si attacher où vous faire attacher peut vous procurer une forme de plaisir. Mais ce n’est pas parce que vous avez de folles idées de ligotage que vous êtes prêt à passer à l’action. Il y a de nombreuses choses à savoir avant de commencer et bien évidemment, on va les voir ensemble, çà sera tout de même plus simple pour que tout se déroule correctement lors de votre première séance.

Rappel du principe de sécurité

Vous l’avez compris, le bondage, c’est entraver le corps de votre partenaire ou le vôtre. Ce dernier se retrouve immobilisé dans une position érotique laissant l’imagination courir loin, très loin dans la représentation de cet être ligoté. Le bondage est donc une pratique que chaque protagoniste accepte. Cependant, elle reste soumise à de nombreux dangers qu’il est important de connaître. Sans ces quelques règles élémentaires, le bondage peut devenir dangereux. Car pour bien profiter d’une séance de bondage, il faut une confiance absolue.

La nécessité du ciseau pour la sécurité

La première règle consiste à garder une paire de ciseaux à portée de main s’il est nécessaire de couper la corde en cas d’urgence. Une « proie » soumise à une séance de bondage peut se sentir mal ou angoissée de sa perte de liberté.

Le safe word

La seconde, comme dans toutes pratiques de l’univers du BDSM, il faut convenir d’un « safe-word » afin de pouvoir mettre fin à la séance si la libération devient nécessaire immédiatement. Mais dans la pratique du bondage, il arrive fréquemment que la proie se retrouve également bâillonnée. Pensez donc à convenir d’un code visuel. Un objet tenu dans la main pouvant être lâché si la séance doit se terminer par exemple.

Les nœuds

La troisième règle est de ne pas laisser un nœud glisser. Le frottement de la corde sur le corps peut devenir dangereux. D’ailleurs, il y a trois zones qui doivent rester intactes de tout serrage : le cou, l’aine et les aisselles. Appliquez un nœud à ces niveaux coupe l’irrigation en sang du cœur. Pour éviter justement de couper la circulation, privilégiez les multiplications du passage de la corde autour des régions sensibles pour que la force du serrage soit répartie correctement. (Notamment les poignets et les chevilles)

Le soumis reste le maître

Dans tous les cas, il ne faut absolument pas retenir une personne qui souhaite être libérée de l’emprise des cordes. Le bondage, c’est un jeu érotique et non une séance de torture. De même, ne prenez pas n’importe quoi pour vous essayer au bondage. La peau étant fragile, elle ne doit pas être marquée en fin de séance.

La fin de séance

Quoi qu’il en soit, il y a des interdits qu’il ne vaut mieux pas transgresser. Et quand je dis qu’il ne vaut mieux pas, c’est pour vous dire qu’il ne vaut mieux pas du tout. En fin de séance, la personne ligotée ne devrait ni avoir des blessures physiques, ni morales. Vous ne devez jamais abandonner quelqu’un qui se retrouve ligoté et pour finir, sachez garder votre savoir-faire dans le domaine. Je parle de réel savoir-faire. Car une technique maîtrisée par une personne peut devenir une technique de torture pour ceux qui sont un peu moins équilibrés dans leur tête.

La pratique du bondage et la douleur

guide pour éviter la douleur pendant un bondage

Une séance bondage, ce n’est pas à faire entre deux émissions de télévision. Il faut prévoir du temps pour réaliser une séance bondage et cette durée est importante à contrôler. Dans tous les cas, l’essentiel est d’écouter le plaisir de l’autre pour justement ajuster cette durée. Mais gardez en mémoire une chose, qu’importe la durée de votre séance, plus le temps passe, plus les liens deviennent douloureux.

Les lésions de la pratique

À ce niveau, vous devez être en mesure de contrôler régulièrement votre partenaire pour y déceler des traces de lésions. Lorsque la douleur est présente, la couleur de la peau change, celle-ci gonfle et change de température. Il faut juste se dire qu’à partir du moment où la peau devient rouge, il est temps de faire attention de manière plus sérieuse.

Le massage

Si un membre de votre proie devient engourdi, prenez le temps de défaire les liens, de masser le membre douloureux avant de le rattacher. De même, ne cherchez pas à entreprendre des positions extrêmes dès le début avant de bien maîtriser le bondage. Dix minutes représentent la limite maximale que le corps peut supporter dans cette situation avant que des séquelles apparaissent. Autant vous le dire, il faut faire très attention sur ce point.

Confiance et compétences

Inutile de vous lancer dans une grande séance bondage. Si vous manquiez de confiance en vos compétences de ligotage, ne cherchez pas à ligoter de manière excessive votre partenaire. Concentrez-vous sur le serrage des liens. Autant vous dire que si madame n’a pas apprécié la force avec laquelle vous l’avez ligoté et qu’elle doit en plus de çà, subir la douleur de cette séance bondage par la suite, ce sera sûrement l’unique fois que vous aurez l’occasion de l’attacher. Enrouler la corde plusieurs fois autour d’un membre permet de démultiplier la force du serrage tout en permettant à celui ou celle qui se retrouve attachée, de se sentir plus à l’aise et aura moins la sensation d’étranglement de ses membres.

La douleur doit-elle être présente ?

Alors que dire de la douleur ? Une séance bondage doit-elle faire mal ou pas ? Je suppose que vous vous attendez à une réponse franche. Dommage pour vous. Pourquoi ? Comme je vous l’ai dit, dans les jeux érotiques tels que celui-ci, un contrat est passé entre les deux pratiquants. Si la personne ligotée souhaite avoir mal, pourquoi ne pas satisfaire son désir ? Écoute et entente sont des mises bien sur. Si vous êtes dans la situation inverse, vous pouvez également pratiquer le bondage avec des foulards. Il ne faut pas se priver.

Mais il faut être conscient, le bondage ne vous fera pas la sensation de ressentir une plume glissait sur vous. Se retrouver immobilisé de manière forcée, amène forcément une douleur sans pour autant avoir forcé sur les liens. Mais la douleur s’apprivoise, savoir résister à celle-ci et la dompter, c’est l’assurance de comprendre votre propre niveau d’acceptation de douleur et à y trouver du plaisir. Aimer la douleur peut signifier aimer le plaisir. La douleur peut même amener certaines personnes à l’orgasme.

Quels Accessoires utiliser pour le bondage ?

guide des accessoires pour le bondage

Le bondage, ce n’est pas que de la corde, c’est un des accessoires du bondage ! Même si dans la tradition de l’art du Shibari, la corde représente le seul accessoire pour sa réalisation. Mais de nos jours, on multiplie les expériences, un nouvel accessoire ou deux ne fait jamais de mal ! Ou alors, vous ne savez pas vous y prendre. On va donc faire le tour de quelques accessoires intéressants pouvant facilement se marier dans la pratique du bondage.

Menottes, foulard et pinces à seins

Le premier, c’est les menottes. Cet accessoire porte une symbolique forte mais certains ne l’aime pas. Chacun y trouve des excuses : çà fait mal, çà ne serre pas correctement, on a peur de perdre la clé… Ce ne sont que de vains arguments. C’est surtout une question de goût ! Pour ma part, j’adore jouer avec les menottes et celles-ci ne me font ni mal, ni l’impression d’être faussement attachée et cerise sur le gâteau, elles n’ont pas de clés. Si vous cherchez des menottes, sachez que vous pouvez consulter le test des menottes Sinful, mais aussi des menottes Luxure de Dorcel. Vous avez également le test des menottes Fifty Shades Darker ou encore les menottes SXY ainsi que les menottes Tom of Finland.

Le second, c’est le foulard. Enfin, je dis foulard, mais vous êtes libres à ce niveau. Que ce soit des bas ou une culotte, tout est bon pour ligoter sa proie. Et puis, avouez que bâillonner une femme avec sa propre culotte est terriblement excitant.

Le troisième, c’est les pinces à seins. Pour ma part, j’adore çà. Sentir une pince me serrer le sein me procure une grande excitation et un grand plaisir. Certaines pinces d’ailleurs sont esthétiquement travaillées et s’accommodent parfaitement à la beauté de l’art du Shibari. Vous avez les pinces Fifty Shades of Grey qui sont parfaites pour débuter. Mais vous avez aussi la chaîne avec pinces à seins de Spartacus pour aller plus loin, avec une partie pour le clitoris.

Les autres accessoires

Les autres sont un peu plus particuliers, n’ayant jamais testé, je ne pourrai pas en dire grand bien. Certains utilisent le scotch, d’autres le film plastique alimentaire. Esthétiquement, je ne suis pas fan. Plus ancrée dans la pratique SM, le sandow connu chez nous sous le nom de tendeur. Évidemment, il existe encore beaucoup d’autres accessoires, ce ne sont ici que les principaux. On retrouve également la Bondage Tape, une sorte de ruban en vinyle qui permet la pratique du bondage de manière très simple. Vous pouvez trouver d’autres accessoires BDSM qui peuvent être utilisés pour le bondage, comme les cordes Fifty Shades Freed !

Au final, le bondage, ça vous tente toujours ?

J’espère que ce guide a répondu à certaines de vos interrogations sur le sujet. Comme je l’ai précédemment indiqué, je ne suis pas un expert du domaine. Cependant, ce guide sera mis à jour au fur et à mesure de mes découvertes et expériences afin de vous faire partager mes nouveaux acquis.