Aujourd’hui, je vais vous donner ma recette pour squirter ! Mais je vais faire bien plus que cela! Je vais vous raconter comment j’ai obtenue ma première éjaculation féminine. Comment j’y suis parvenue ? Et surtout, comment j’ai vécue cette première !

Pour bien squirter, il vous faut :

  • Un Mogwaï persévérant
  • Une grosse cuillère à soupe de lubrifiant silicone
  • La Pure Wand de NJOY
  • Une paire de boules quiès

Laissez-moi vous raconter cette journée du 12 juillet 2015. Cette journée où j’ai squirté lors de 5 séances alors que je n’y croyais plus… Cette journée où j’ai eu ma première éjaculation féminine, mon premier squirt !

Squirter ou ma première éjaculation féminine

Je me lève à 7 heures, les yeux grands ouverts, j’ai dormi 4 heures, je suis tracassé en ce moment, je n’ai pas bien dormi du tout. La journée va être longue, en plus je dois aller faire des courses. Un dimanche matin quel sacerdoce ! Autant vous dire que la journée commence mal, je vois d’ici mes siestes épisodiques et le gros cômatage dans le canapé alors que Mogwaï râle parce que notre sexualité devient routinière, nous sommes respectivement en vacances dans deux semaines, nous sommes un peu à cran voyez-vous !

Le début des hostilités

Vers 11h30, je lui dis « viens me faire squirter », ce qui veut dire, enfin, ce qui voulait dire, « je fais l’étoile et trifouille-moi le vagin parce que j’adore ça« . Même si je n’ai jamais eu d’orgasme du point G, j’aime ces moments où il me caresse et essaie de rentrer un doigt, puis un autre et encore un autre allant jusqu’à la jointure…

Je suis allongée, il prend du lubrifiant et commence à me caresser le clito, les lèvres, il tourne autour et le plaisir commence à monter en flèche. Il commence alors à insérer plusieurs doigts en moi, il appuie sur mon point G et j’entends ce bruit de savon qui me gène. Je ne sais pas ce qui m’a pété à la tête mais je lui demande si je peux mettre des boules quiès parce que le bruit me fait trop rire et me déconcentre.

Sensation et technique

Il accepte, je n’entends plus rien, je me couvre les yeux avec un drap, je suis persuadée que la privation de deux sens fondamentaux peut m’aider à me concentrer sur mon vagin et ce qui est en train de se passer dedans. Mogwaï alterne entre doigts crochus et fist (même si on ne va pas jusqu’au bout), le plaisir est très spécial, j’ai l’impression que je vais jouir et rien n’arrive, je profite de ce moment.

Je comprends qu’un petit détail est très important, j’aime qu’il soit en appui sur mon pubis. Je lui demande d’y mettre sa main « libre » et d’appuyer dessus, dès qu’il arrête, ça m’agace. Il faut qu’il appuie, c’est vraiment trop bon !! Il est tiraillé entre le fait de faire ce que je lui demande et la peur de me faire mal, mais je lui lâche tout de même, « j’ai envie de hurler, mets tout ton poids dessus si tu veux mais appuies dessus, je t’en supplie !! ». Au bout de 20 minutes, je vois qu’il fatigue un peu de la main droite, je lui suggère de prendre la pure wand de Njoy.

Advienne que pourra

À ce moment-là, je ne pense même pas à squirter tellement cette pratique est devenue un mythe pour moi. Je suis persuadée de ne pas en être capable. Il faut bien comprendre qu’à ce moment T, je ne veux que profiter du plaisir qui transperce mon appareil génital. Et ceci, qu’il y est un orgasme ou pas. Car les sensations sont très fortes. Je suis très excitée, tout est en feu. Même mon clito que je ne touche même pas. Pour faire simple, j’ai la sensation que je vais jouir à tout moment mais, je reste sur ce niveau. C’est très excitant de rester sur ce niveau de plaisir !

Il lubrifie la grosse boule du jouet, elle entre très bien et là, sans rien faire, je ressens quelque chose de très spécial, l’acier est très froid, mon vagin en feu. Le choc des températures en est presque douloureux mais, j’ai l’impression qu’un éclair foudroie mon point G. Je précise aussi que dès que la boule se loge sur mon fameux point G, j’ai une envie de pisser énorme qui m’envahit.

Le moment de squirter

Deux trois manips de Mogwaï et je sens un liquide chaud glisser le long de mon cul. Je n’en reviens pas, je viens d’avoir ma première éjaculation. Trop heureuse d’y arriver, il faut continuer encore et encore. Les jets se suivent et se ressemblent et rien ne semble arrêter mes fluides. Mes sentiments se mélangent… Le plaisir immense de la stimulation du point G, la satisfaction d’y être arrivé et un fou rire car je n’en reviens pas de squirter.

Et ça continue encore un quart d’heure, n’en pouvant plus, je m’empare du Womanizer Saint-Valentin, il faut que je jouisse. Il est plein de lubrifiant et je coule, j’ai peur de le flinguer mais je m’en fous. C’est pour vous dire à quel point je profite de ce qui est en train de m’arriver, même si cela doit me coûter mon Womanizer ! J’ai donc joui et je n’ai pas bousillé mon Womanizer.

Encore sonnée et étonnée de ce qui venait de m’arriver, je découvre les fluides. Les petits jets qui m’ont plongé dans un état second. Pensant trouver quelques traces, je tombe nez à nez avec une espèce de flaque… Impensable! À ce moment-là, je suis très fière de moi, je pensais que cette performance était exceptionnelle et ne pouvait arriver qu’après des jours, années d’entraînement !

La première flaque de Lilou

C’est le moment du petit débriefing avec Mogwai qui me dit déjà « tu vas m’éjaculer dans la bouche »… Pour faire rapide ce qui a fait la différence, en dehors de mon état de fatigue, c’est :

  • Les boules quiès qui m’empêchent d’entendre ce bruit si désagréable pour moi, les « flock, flock » dans mon vagin me font presque peur !!
  • La main en appuie sur mon bas-ventre, en plus d’avoir une sensation de puissance, le point G est davantage stimulé par le jouet utilisé.
  • Le bon jouet, il faut savoir que la pure wand de NJOY est faite pour ça. Je vais prochainement essayer avec d’autres joujoux mais celui-ci est recommandé par tous les grands pro du squirt et notamment NXPL !
  • Quand on est sur le point G, on a forcément envie d’uriner, enfin c’est l’impression que nous avons. Ce n’est pas de l’urine qui veut sortir, c’est le fameux liquide inexplicable. Il faut simplement ne pas le retenir, voir pousser pour qu’il s’expulse. C’est peut-être la partie la plus complexe de la séance… Pratiquant parfois l’uro avec mon homme, cela ne me gêne pas et j’ai compris que même s’il y avait un accident ce ne serait pas grave, un peu comme lors d’une sodomie. Il faut vraiment discuter de ça et ne pas appréhender ce moment.

À peine remise de mes émotions, il fallait recommencer pour être sûre que ça fonctionne, que ce ne soit pas un coup de bol, la main divine sur mon point G !!

Squirter, ma seconde éjaculation féminine

La deuxième expérience fut tout aussi prometteuse. Les jets sont arrivés en moins de 10 minutes, et surtout peuvent durer très longtemps. Bon, j’explose de rire quand ça arrive car je ne comprends toujours pas comment c’est possible… Surtout en aussi peu de temps, quand on lit sur certains articles qu’il faut 30 minutes de stimulation… Je crois que mon vagin sait comment faire mais mon esprit, pas encore !

Squirter, ma troisième éjaculation féminine (jusqu’à 5)

La troisième fois, j’ai essayé seule, c’est arrivé en 3 minutes… La première fois, j’étais sur le cul mais encore plus les autres fois… Maintenant j’ai compris et assume les 5 squirts de la journée qui furent tous plus étonnants les uns que les autres… Pour les deux autres, Mogwaï vous en parlera mieux que moi car il était dessous et que là n’est pas le sujet !

Ce que je tente de vous expliquer c’est que le fait d’éjaculer chez les femmes n’est pas un mythe. Je pensais ne jamais y arriver et pourtant… Certaines s’en foutent totalement et ne veulent pas connaitre cette sensation. Mais pour celles que ça intéresse, sachez qu’en faisant abstraction de détails (comme le bruit pour moi) c’est possible, pas besoin de s’acharner chaque jour que Dieu fait (d’ailleurs c’est assez décourageant!)

Squirter, éjaculation féminine et conclusion

Si vous avez des questions ou que vous voulez partager avec nous vos expériences en la matière, les commentaires sont là pour ça. Préparez-vous à une série d’articles sur le squirt et l’éjaculation féminine car cette pratique était un énorme fantasme de Mogwaï que je ne pensais pas pouvoir satisfaire. Maintenant c’est moi qui en veux plus et cette découverte est en train de changer ma sexualité ! Si je peux aider au moins une personne a arriver à squirter, je serai pleinement satisfaite !

Squirter ou ma première éjaculation féminine
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