Je vous préviens d’emblée, cette expérience est, selon moi, trash. Une expérience où je crache sur mon mec, Mogwai. Certains seront probablement choqués de lire ceci et j’en suis désolée. Ce que nous expérimentons se fait dans une démarche de couple et contribue à notre épanouissement sexuel. Je découvre chaque jour des pratiques obscures et y prend beaucoup de plaisir!
Expérience d’urophilie Trash : Je crache sur mon mec
Sommaire
La journée avait été très chaude…Déjà parce qu’il faisait 30° dehors et parce que nous avions passé la journée entre douche, lit, latex et urophilie. J’aime les dimanches où nous baisons entre 4 et 6 fois dans la journée. Nous allons toujours plus loin et ces journées-là sont propices aux confidences!
J’ai compris entre deux séances plus ou moins conventionnelles que Mogwai voulait me faire sortir de mes retranchements. C’est ainsi que j’ai retenu qu’il voulait essayer certaines choses ou en recommencer d’autres. Il souhaitait que je lui pisse dessus, que je lui baise la bouche, que je lui crache dessus, il voulait faire la pute en somme. La messe était dites!
Avant que je crache sur toi, je vais me préparer
Plusieurs heures après, je vais enfiler un de mes harnais favoris, le Tomboi avec le gode Tantus Curve. Il est court, c’est le meilleur choix pour le scénario que j’ai plus ou moins prévu. Lorsque je me pointe dans le salon avec mon pénis d’un soir, il est là, à poil, il ne lit pas encore dans mes pensées, c’est certainement parce que nous crevons de chaud. À l’aide d’une main appuyant son épaule, je lui fais comprendre qu’il doit se mettre à genoux, bien que surpris, je m’aperçois qu’il bande déjà beaucoup. Il commence à jouer avec mon gode, il me lèche le gland, il le gobe, je le laisse reprendre doucement ses marques, je prendrais les choses en mains dans quelques instants.
Tu vas sucer mon gode jusqu’au bout
Monsieur est déjà très excité, c’est alors que je lui prends la tête pour qu’il avale ma queue, je commence à faire des mouvement plus ou moins doux, plus ou moins rapide. Je la lui mets au fond, il adore ça. Je fais glisser toute la longueur de ma bite entre ses lèvres mouillées et affamées. Il adore ma queue…Il est à genoux contre le carrelage froid, je l’invite à retrouver un endroit plus confortable; le lit. Il se met encore à genoux, je suis debout devant lui, ma queue à porter de bouche, il ne peut pas se dérober à son devoir de pute qu’il a voulu que je lui attribue!
Si tu veux faire la pute, tu vas comprendre…
Ce soir, on inverse les rôles, il me suce avec beaucoup de ferveur et d’excitation, il met ma queue en entier dans sa gorge, il crache dessus, il est déchaîné. Je lui mets des claques sur les joues pour lui faire comprendre que ce qu’il fait est bien, je lui prends la tête, la bloque et commence à lui baiser la bouche. Je me retire, je veux lui cracher dessus mais j’ai un petit blocage. C’est alors que je lui demande de ne pas me regarder dans les yeux. Il comprend tout de suite pourquoi et s’exécute.
Je lui réintroduis ma queue dans sa bouche, le gifle et me lance. Le premier crachat fut psychologiquement difficile…Sur le corps, ceci ne me gêne pas, mais sur le visage, on place la barre un peu plus haute ! Il est excité comme un dingue, une vraie pute… Je recommence à le baiser, lui crache dessus, il étale mon crachat sur son visage, il est en transe.
Le moment où je crache sur lui dans la douche
Je lui ordonne d’aller sous la douche, il y trouvera, un gode ventouse accessible à ses lèvres uniquement s’il est assis. Ma petite pute comprend bien ce qu’elle doit faire et s’exécute sur le champ. J’ai ôté mon pénis, je me place sur lui, je suis debout, le haut de sa tête colle mon clitoris. Putain que je suis excitée, jamais je n’aurais imaginé que cracher sur mon mec et l’idée de me soulager sur lui pouvait autant m’exciter…
Je reprends sa tête en main et lui engouffre ce nouveau gode dans sa bouche. Il est long, il est gros… Je vais vite, très vite, lui ressort la tête et lui crache dessus. Il me regarde dans les yeux et ça m’excite. Bizarrement ça ne me gêne plus du tout, j’ai dû franchir une barrière… Ou alors l’idée d’être dans la douche me désinhibe totalement. Peut-être en sachant que les actes les plus dégueulasses seront ensuite lavés et rincés (pardon pour la connotation biblique).
Je crache et je lui pisse dessus jusqu’à l’orgasme
Je suis de plus en plus trempée et j’ai une envie de pisser incroyable… C’est l’heure de se lancer, après quelques crachats et va-et-vient, je commence à lui pisser dessus. Je lui prends la bouche et la colle contre ma chatte. Il se masturbe. Je lui pisse dessus, notre excitation est à son apogée. Sa tête est collée contre ma chatte, il n’a pas d’autre choix que de recevoir dans sa bouche ma pisse chaude. Je ne lui imposerai pas encore de l’avaler même si je pense que nous y arriverons bien assez vite…
Je le relâche, il crache mon urine et continue à se branler sous cette douche dorée. Puis je lui pisse encore et encore dessus. Il se branle avec force. Il est dans un état d’excitation assez incroyable. Je n’ai plus rien à donner, je vais pouvoir jouir. Il se branle, me lèche les cuisses, je lui crache encore dessus. Je me masturbe très fortement, je suis vraiment trempée, cette séance me procure une excitation assez incroyable et inavouable. C’est ainsi que nous jouissons ensemble dans un long râle révélateur.
La note des lecteurs
- Noté 4.6 stars
4.6 / 5 (Lecteurs) - Incroyable
Votre note
Pendant 10 matins de suite à l’extérieur je me suis bien inondée, sans jamais laver ma nuisette et c’est au bout de ces 10 jours qu’elle m’a enfin dit que je sentais la pisse.
Bisesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss
Comme je fais des reportages photos et vidéo libertins, j’essaie de me faire pisser dessus et dans la bouche le plus souvent possible, hélas, on ne peut pas en parler à tout le monde…
Merci beaucoup pour ton commentaire! Si jamais, l’occasion se présente, n’hésite pas à venir nous en parler!
Oui, on ne peut pas parler de cela à tout le monde, c’est pour cette raison (entre autre) que nous avons ouvert ce site, parler de choses non consensuelles avec des gens ouverts et concernés ou tout simplement curieux!
Je suis très contente que tu aies laissé un commentaire ici, que tu aies pensé (à juste titre) que tu pouvais parler de ça ici et te sentir en confiance! Réellement, un grand merci! Et n’hésite pas à revenir nous parler de ce qui te chante!
Continuez à nous enseigner.
Tu n’imagines pas à quel point ce commentaire me fait plaisir et me touche! Cela me fait toujours extrêmement plaisir quand des lecteurs saisissent totalement notre récit et surtout quand ils prennent le temps de nous le dire! Vraiment merci!
Pour ce qui est de l’enseignement, je pense que le mot est un peut trop fort mais je prends!
Encore merci pour ce premier commentaire qui, je l’espère, ne sera pas le dernier!
Le respect le plus total de ma part, et pour le fait et pour la description très bien ficelée !
Au plaisir
Assez bizarre comme première expérience, mais si le plaisir était là, c’est le plus important.
Situation incongru tout de même. C’était en état de sobriété ?
je n’ai pas encore pratiqué l’uro avec mon amie, mais le jet doré sous la douche nous parait très accessible car tout de suite nettoyé d’un simple jet d’eau et sans trace. Donc on y viendra forcément un de ces jours.
Par contre, nous avons une vraie répugnance pour ce qui est scato.
Pourtant il s’agit bien d’excréments pour l’un comme pour l’autre, mais la texture sans doute nous bloque vraiment.
L’odeur quand à elle, ne serait pas vraiment un frein, car à force de sodomies et d’anuslingus on connait bien…
Les pets sont aussi peu préoccupants depuis les sodomies et autres godages en tous genres.
Le seul vrai blocage c’est le « caca » de quand on était petits je pense. L’interdit des interdits!
Pourtant il s’agit là d’une encore plus grande acceptation de l’autre dans sa globalité si on y réfléchie bien…
Et vous, quel est votre sentiment sur cette pratique?
Même si on parle d’excréments les pratiques sont différentes… L’uro, nous (je) la préparons. Avant une séance je bois beaucoup, beaucoup, beaucoup pour que ça dure longtemps et surtout pour que l’urine soit diluée au maximum donc déjà, on s’éloigne un peu de « l’excrément pur ». Ensuite même si nous sommes habitués à des « accidents » lors de sodomie ou autre, il n’en reste ^pas moins que ce sont des accidents, même si cela ne nous gène pas, nous avons du mal à nous habituer… Ce qui arrive le plus souvent c’est l’évacuation d’air lorsqu’on change de position ou d’engin mais ce n’est pas un gaz intestinal à proprement parlé.
Je considère la scatophilie comme très trash et ceci ne nous intéresse pas le moins du monde.
Comme le dis Lilou, c’est pas notre tasse de thé. Nous n’avons jamais essayé, mais nous n’avons pas d’attirance pour cette pratique. Même si j’aime être « salit » suivant les occasions, l’urine, le crachat ou autre passe, mais pas les excréments.
Marty je vous remercie pour votre commentaire car après avoir lu cet article cela me rassure quelque peu ! En effet, les réponses des auteurs nuancent complètement la pratique… Il y a à mon sens un détail de taille dans le fait de boire bcp pour diluer au maximum…
Cela montre aussi que toutes les pratiques ne se valent pas… Il y a quand même des limites dans ce qui est acceptable par chacun…
Bonne journée
Lili
Je te rassure quand même, nous ne parlons pas que de pipi et de sodomie ici !
Là s’agissant de l’uro et pour aussi avoir vu des émissions de survie, l’urine n’est pas buvable en soi sauf pour éviter une déshydratation dangereuse (…..quand est dans le désert depuis trop longtemps……….P. Capdevielle pour les anciens) idem que pour la scato à prohiber selon mon point de vue. Certes le fait de diluer un max permet d’en limiter les « déchets ». Cependant le corps n’est pas prévu pour ca, c’est moins dramatique que le scato voir beaucoup moins dangereux mais recracher (discrètement) si nécessaire est recommandable.
En revanche l’acte de pisser sur quelqu’un reste assez excitant mais pas toujours compris selon les personnes. C’est un fantasme qu’il faut savoir adapter à son partenaire je pense.