Connaissez-vous la branlette sodomie ? Oui, il s’agit d’un terme qui n’existe pas à ma connaissance. Néanmoins, je ne voyais pas d’autres titres pour cette nouvelle expérience et ce dernier reflète plutôt bien celle-ci. C’était la seconde expérience de sodomie de la semaine. Une semaine richement remplie à ce niveau qui m’a permis ainsi de profiter des occasions qui se présentaient à moi. Mais, ici, il s’agit d’une expérience de branlette sodomie.

C’est quoi cette expérience d’une branlette sodomie ?

Cette fois-ci, les choses étaient un peu différentes. Lilou était dans le lit, allongée sur son ventre, laissant ainsi ses fesses à ma disposition. Je n’avais pas idée que les choses allaient se dérouler ainsi. C’est dans cette position qu’elle me questionna afin de savoir si je pensais pouvoir la pénétrer ainsi dans cette position complètement allongée. Habituellement, ses fesses sont relevées, permettant ainsi de plus facilement entreprendre une pénétration, mais les choses étaient différentes ce jour-là.

On commence par des préliminaires

Pour commencer les préliminaires, je me suis placé au-dessus d’elle, nu, afin de profiter de la vue. Mais également de pouvoir pratiquer une chose que nous aimons tous les deux. Si la branlette espagnole est connue, la branlette fessière l’est un peu moins ou branlette sodomie comme j’aime l’appeler. Dans l’obscurité, simplement illuminé d’un rayon de lumière du couloir voisin, j’avais ainsi accès à l’entièreté de ses fesses. J’ai donc profité de cet instant, pour glisser mon sexe en érection, au creux de ses fesses, parallèlement à son corps, me permettant ainsi de faire des allers-retours entre sa paire de fesses.

Branlette sodomie ou la masturbation entre les fesses

Au début, les mouvements étaient lents, mon sexe cherchait à exciter dans un premier temps ses fesses, puis peu à peu, l’entrée de son anus. Pendant plusieurs minutes, nous profitions de cette délicieuse sensation. C’est alors qu’elle m’a demandé d’y mettre un peu de lubrifiant afin que les sensations de glisse soient plus agréables. Sans attendre, je m’exécute. Puis reprennent mes activités en ayant pris soin de légèrement lubrifier l’ensemble de la raie de ses fesses et mon pénis par la même occasion.

C’est pendant pas loin d’un quart d’heure que nous avions pris plaisir à cette pratique. L’excitation était pour moi assez forte, surtout par l’aspect psychologique de la situation. Avoir accès à ses fesses ainsi, alors qu’elle était allongée sans aucune possibilité de se défendre, amenait en moi, une sensation de toute-puissance, un sentiment d’avoir accès à l’interdit.

Je commence à la préparer

Au cours de cette masturbation fessière, dans le cadre de cette séance de branlette sodomie, mon gland tentait délicatement de réveiller son anus, excité par le contact du lubrifiant et de la chaleur de mon sexe, jusqu’à ce que mon gland débute son aventure, s’introduisant de moitié en elle. C’est serré, mais cette sensation est terriblement délicieuse, une sorte de branlette sodomie, selon mes termes.

Cependant, le lubrifiant appliqué il y a plusieurs minutes de cela, commençait à sécher quelque peu, nécessitant ainsi d’en rajouter une noisette avant de commencer la suite des opérations. La bouteille en main, une petite quantité sur mes doigts, je glisse mon index au creux de son anus et applique délicatement la substance, lui amenant une petite sensation de plaisir. Je profite par la même occasion pour appliquer de nouveau, une lubrification de mon sexe, avant de replacer celui-ci en face de l’entrée.

Après la branlette, la sodomie

Concentré, je glisse lentement mon sexe à l’endroit stratégique, plonge mon gland à l’intérieur d’elle, débute de tout petits mouvements afin de réhabituer ses chairs à la présence de ma queue. Puis, j’amorce une pénétration délicate, ressentant l’étroitesse de son derrière, jusqu’à ce que celle-ci soit quasiment en-elle, complètement, totalement.

Sans forcer, mon pénis fait des mouvements irréguliers mais délicats. Cependant, mon érection perd peu à peu de sa vigueur, dû à la quasi-immobilité de mon sexe. Ne voulant pas brusquer les choses et voyant qu’elle prenait tout de même un grand plaisir, je laissais la situation ainsi pendant quelques minutes.

À présent, je souhaitais ressentir les sensations sur l’ensemble de ma queue et regagner un afflux sanguin plus important de sorte à retrouver l’érection pré-pénétration. En ressortant une partie de mon sexe, je le réinsère en elle, me faisant ainsi augmenter la taille de mon sexe, m’amenant alors à entreprendre une nouvelle pénétration plus énergique.

Une sodomie très orgasmique

Pendant une bonne dizaine de minutes, je pénètre son anus. Les sensations sont esquisses, très différentes d’une pénétration vaginale. Tandis que de son coté, sa main avait glissé sous elle pour réveiller son clitoris. La séance fut plus longue que d’habitude, pas loin de dix minutes, me faisant monter graduellement le plaisir que je ressentais.

Une fois que son anus était à l’aise et que la pénétration devenait plus évidente, mes mouvements devenaient plus rapides au fur et à mesure que son excitation s’élevait. Je la pénétrai ainsi comme s’il s’agissait d’une pénétration classique. L’image que j’avais devant les yeux, de ma queue la sodomisant me procurait des sensations magiques. Et c’est sur les derniers instants, que j’accélère encore davantage mes mouvements de va-et-vient, avant d’en venir à l’orgasme. Un orgasme puissant, plus long que d’habitude, créant en moi et dans mon sexe, des spasmes. Je sentais ma queue se gonfler à l’intérieur d’elle à chaque éjaculation.

Après la branlette sodomie, un orgasme pour Lilou

De son coté, elle n’avait pas joui. C’est alors que je me suis retiré, pour me placer sur le côté, tandis qu’elle basculait son bassin pour se retourner. Elle me laissa ainsi accès à sa poitrine. Ma langue amorce sa descente jusqu’à son sein gauche et commence alors à la lécher délicatement. Puis plus fortement, tandis que mon autre main agrippait du bout des doigts, le téton de son autre sein. Je le caresse, le pince et le tord.

De son coté, elle se caressait le clitoris à l’aide de ses doigts, avant d’attraper le vibromasseur, le Meany minivibes, pour faciliter sa montée de plaisir. En cinq minutes, une vague de sensation parcourait son corps avant d’obtenir un orgasme bien mérité.

Ce fut une expérience de branlette sodomie très intéressante, ouvrant de nouvelles portes. Elle n’avait pas eu mal, que ce soit après notre séance ou le lendemain matin. Comme quoi, les choses peuvent être bien faites. Notamment si on prend le temps et la patience de mener à bout la pratique de la sodomie. Une pratique qui semblerait devenir de plus en plus régulière, pour notre plaisir commun.