Je vous préviens, je vais encore enfoncer des portes ouvertes avec mon sujet la sodomie et les femmes ! Celles-ci sont cependant souvent fermées chez les femmes. Oui, je vais vous parler de sodomie ! On entend souvent la même chose : « c’est sale et ça fait mal ». Eh bien oui, la sodomie peut être sale surtout si vous avez une gastro depuis 4 jours et fait mal si cela n’est pas bien préparé! Mais sachez que rien n’est insurmontable, au contraire.
La sodomie dans le porno
Sommaire
Messieurs, sachez que la vie et le porno sont très différents sur de nombreux aspects et notamment en matière de sodomie! En effet, avant une séance, les actrices et acteurs se font des lavements et se préparent l’anus. C’est ainsi que sur les vidéos, l’anus est clean et bien dilaté (parfois beaucoup d’ailleurs !), et que même dans le porno, les accidents arrivent et sont coupés. Merci la magie du montage! Donc Messieurs, avant de mettre votre amante à quatre pattes, de lui écarter le cul, de se contenter d’un crachat en guise de lubrification et de commencer à la talonner : lisez mes conseils! Enfin, si vous voulez convaincre Madame de vous ouvrir ses fesses une seconde fois !
La sodomie et les femmes : L’aspect psychologique
Comme je vous le disais, la sodomie dans l’esprit des gens c’est sale. Qui n’a pas entendu « par là, tout sort, rien ne rentre » ou encore « jamais dans la boîte à caca » ! Certaines femmes peuvent être bloquées à l’idée d’un accident, ce qui d’ailleurs était mon cas. Attention, c’est la minute biologie… sachez que l’anus est une toute petite partie. En effet, quand nous avons envie d’aller à la selle (ou de faire caca pour les plus infantiles d’entre vous), les rejets naturels, sont dans le rectum, elles descendent dans l’anus à l’aide des sphincters, que nous faisons travailler lorsque nous avons envie d’évacuer.
Autrement dit, si vous n’avez pas envie d’aller aux toilettes, vos déchets restent dans une partie théoriquement inaccessible même lors d’une sodomie. De plus, si madame a très envie d’aller aux toilettes, elle ne va pas vous dire « ok vas-y, je me viderai après »… Après, ceci n’est pas une science exacte, il m’arrive de « taper » au fond dans les fesses de mon conjoint, et parfois il y a de toutes petites traces, mais je ne suis pas obligée d’y aller comme une bourrine et encore moins de me formaliser…
La sodomie et les femmes : Les lavements
Si Madame est vraiment très bloquée par rapport à ceci, il existe des moyens pour se faire soit même des lavements, vous pouvez trouver dans le commerce des poires à lavement à des prix tout à fait raisonnables qui pourront mettre votre conjointe plus en confiance. Enfin, nous ne pouvions pas nous passer de cet argument: « quand on passe par là, on sait à quoi s’attendre !«
Je tiens aussi à rappeler que nous sommes tous fait du même bois… On fait caca parfois, on a des gaz souvent et non, on ne pète pas des paillettes ! Je veux dire par là que ce n’est pas grave… On a le droit d’avoir des accidents. Comme je vous le disais, si vous avez mal au ventre, que vous êtes ballonnée ou autre, vous pouvez dire « non pas ce soir ». Par contre, si vous le sentez, c’est techniquement impossible que vous vous vidiez sur le sexe de monsieur. Au pire une petite trace à la fin du rapport et encore…
Pour vous donner un exemple, Mogwaï aime bien sortir son pénis, le rentrer entièrement et le faire à plusieurs reprises. Arrive ce qui doit arriver, un trop-plein d’air, comme avec les pets vaginaux. Du coup on fait quoi là ? On arrête parce qu’on est des gros dégueulasses et on se marre pendant 30 minutes ? Rien de tout ça, on n’est pas idiots et on sait que c’est normal. C’est même pas un truc qui peut arriver, c’est normal !
Ensuite, les traces… Oui ça peut arriver, je ne vais pas vous dire le contraire. On peut les éviter avec des lavements mais notez que ça fait plus d’un an que je n’ai pas fait de lavements et que tout va bien ! Le corps est bien fait, je dirai même que c’est votre allié. Ne faites pas une fixette sur des détails négatifs mais, pensez au plaisir que vous pourriez tirer de cette expérience. Déjà, c’est plus agréable et ensuite cela vous préparera un peu pour la suite des festivités.
La sodomie et les femmes : La peur d’avoir mal
Évidemment, une sodomie « à froid », ça fait mal, même pour Katsuni (désolés messieurs). Il faut dilater l’anus de votre partenaire et ceci peut prendre du temps mais, il faut surtout qu’elle soit en confiance! Donc, n’hésitez pas à faire ça en plusieurs séances. Si elle est stressée, son petit trou le sera aussi! Il n’y a pas de remèdes miracles pour ne pas avoir mal, mais quelques astuces, l’anulingus, le lubrifiant et la douceur. C’est partie pour les TP!
La sodomie et les femmes : Pour commencer
Pour commencer, je vous suggère de ne pas vous attendre à lui péter le cul rapidement ! Vous pouvez pour acclimater votre conjointe à l’idée, lui faire découvrir cette zone. C’est ainsi qu’un cunnilingus, peut déraper en anulingus. Vous ne l’avez pas fait exprès, vous pouvez voir et mesurer sa réaction! Elle ne dit rien. Tant mieux, vous pouvez donc arrêter de faire semblant et commencer à passer de petits coups de langue avec douceur sur son anus. N’y allez pas trop vite ça peut chatouiller! Si elle commence à gémir, c’est qu’elle aime ça (enfin je suppute), vos coups de langue peuvent devenir plus appuyés, elle se détend sous votre acharnement et votre salive… Essayer de rentrer un peu votre langue en elle! Tous ses sens sont en ébullition. Parfait, vous avez le droit de continuer à lire !
Pour continuer
Votre amante à donc céder à votre douce langue sur ses fesses! Revenez sur la zone de départ, le clitoris par exemple. Votre femme est détendue et toute mouillée, profitez en pour glisser un doigt sur son petit trou, mais ne le rentrez pas! Massez le doucement, continuez à la lécher, elle va s’ouvrir à vous sans que vous aillez besoin de forcer, c’est normal elle se détend. Votre doigt est rentré? Un peu? Beaucoup? Étape suivante!
Par la suite
Emparez-vous d’un lubrifiant (le silicone est selon moi bien mieux que celui à base d’eau) pour vous aider, vous pouvez consulter notre page d’avis en lubrifiants. Recommencez à la masser, votre doigt va rentrer dans son antre sans problème! Si çà « pique » dites-lui de se détendre et ne lésinez pas sur le lubrifiant, c’est pour la bonne cause! C’est ainsi qu’il faut augmenter crescendo, le volume. Un doigt, deux doigts, ce sex-toy que sa meilleure amie lui a offerte… Elle est prête?
Mais encore
Badigeonnez vous le pénis de lubrifiant ! L’idéal pour cette première pénétration reste la levrette (même si le missionnaire permet une pénétration moins profonde). Le mieux, je pense est que vous laissiez Madame diriger! Cette manœuvre n’est pas évidente car, votre érection peut diminuer, pas de panique, servez-vous de vos mains! Il faut au préalable insérer votre gland dans l’anus de votre partenaire. Une fois qu’il est bien au chaud, ne bougez plus. Laisser Madame s’empaler sur votre sexe, elle ira à son rythme et se crispera moins. Encouragez là, ce qu’elle fait est bien et c’est bon, rassurez là pour la détendre. Le plus difficile est d’insérer le sexe en entier, une fois qui il y est, il faut y aller doucement, ne pas brusquer les choses. Cette douceur habituera son anus et finira de le dilater.
Pour finir, l’astuce de fin
Laissez-vous aller à votre rythme vous avez réussi, vous êtes tous les deux en bonne voie pour avoir un orgasme inoubliable! Voici une astuce pour vous mesdames, une astuce qui m’est encore utile alors que je pratique la sodomie depuis un moment… La respiration de type yoga ou méditation. Quand Mogwaï s’insère pour la première fois et que je sens que je suis un peu crispée, je n’hésite pas à prendre une grande inspiration par le nez et d’expirer doucement par la bouche. C’est physiologique, ça détend et à chaque fois, je constate avec amusement que ça marche ! Ce qu’il faut retenir c’est qu’il ne faut pas trop se prendre la tête…
N’oubliez pas que la clé de la sodomie et les femmes, c’est la confiance. Le fait d’être à l’aise avec ceci se résout le plus souvent par la communication! La sodomie et les femmes, c’est une longue histoire, une aventure de toute une vie.
Les légendes sur la sodomie et les femmes, mais pas que
Étant donné que la sodomie et les plaisirs du sexe anal sont encore tabous dans notre société, il y a de nombreuses légendes qui circulent sur les relations anales. Voici pour vous dix légendes qui pourront peut-être changer l’idée que vous vos faites de ce domaine ou au contraire, vous faire rire. C’est toujours çà de gagner.Néanmoins, elles n’en sont pas moins intéressantes.
#1 : Les relations anales sont immorales et ne sont pas naturelles
Les étudiants en sociologie et en changements sociaux sont conscients que les déviances d’aujourd’hui peuvent devenir la norme de demain. La pratique de la masturbation et du sexe oral en est un bon exemple. Ce qui est considéré comme un acte déviant ou non est issu de multiples institutions légitimes, les plus importantes étant le gouvernement et la religion. Le sexe anal est un tabou bien établi dans la culture américaine.
Les tabous sont souvent défiés par la logique, la science et l’expérience. Il s’agit souvent de tabous issus de la désinformation, la peur et le désir de maintenir un statuquo. Dans le cas de la relation anale, ce tabou fait miroir à certains éléments fondamentales de notre société.
Par exemple, les relations anales sont considérées comme sales, directement reliées à notre obsession culturelle de l’hygiène et de la propreté et la perception d’une connexion entre le sexe anal et l’homosexualité. Ces deux idées sont en énorme frein à la découverte du plaisir anal et ce n’est pas les gouvernements et les institutions religieuses qui diront le contraire.
Pour eux, la sodomie reste un acte non naturel. C’est souvent ces mêmes gens qui bannissent l’éducation sexuelle dans les écoles et la législation sur les homosexuels. Seuls les rapports procréatifs, hétérosexuels et vaginaux sont autorisés.
#2 : Seules les salopes, les pervers et les marginaux pratiquent les relations anales
La vérité est que les relations anales sont pratiquées et appréciées par les femmes, les hommes et les personnes trans-genres de tous types, de la dominatrice en donjon à la petite voisine sans histoire à côté de chez vous. D’ailleurs, dans les ouvrages consacrés aux pratiques sexuelles particulières, on y retrouve le bondage, le trans-habillage, le S/M, les douches dorées et le sexe en groupe, cela n’inclut pas les relations anales. La pratique de la sodomie est plutôt classé dans le même rayon que le coït vaginal et le sexe oral. La notion que les relations anales sont anormales ou perverses est basé sur la supposition que seuls certains éléments du sexe, comme l’hétérosexualité, l’acte procréatif, la relation pénis-vagin, et le coït vaginal sont naturels et conventionnels.
#3 : L’anus et le rectum n’ont jamais été fait pour être érotisés dans l’optique des relations anales
L’anus et le rectum sont remplis de terminaisons nerveuses sensibles et réactives et la stimulation de celles-ci. Ainsi, la pénétration du rectum peut être très intense dans le plaisir ressenti. Voir même orgasmique pour les hommes et les femmes. En plus de çà, le périnée et le point G peuvent être stimulés chez une femme lors d’une pénétration anale, tandis que les hommes possèdent une prostate majoritairement responsable du plaisir anal.
#4 : Les relations anales sont sales et dégueulasses
Aussi longtemps que vous pratiquerez les relations anales dans des conditions standard d’hygiène, celles-ci ne sont pas plus sales que toute autre forme de sexe. En temps normal, il y a peu de matières fécales dans le canal anal et le rectum. Certaines personnes aiment prendre une douche ou un bain pour se laver la région anale, mais aucune autre mesure particulière n’est censé être pris, hormis un lavement anal si nécessaire.
#5 : Seuls les hommes homosexuels ont des relations anales
Les gens de toutes orientations sexuelles ou de tous genres ont des relations anales. Même s’il est vrai que de nombreux hommes homosexuels entretiennent des relations anales, les statistiques indiquent que seulement entre 50 et 60% des hommes homosexuels ont déjà essayé la sodomie. Seulement 30% la pratique régulièrement. La fellation par exemple est bien plus répandue dans l’univers des hommes gays. De même, selon les sondages que l’on prend en considération, entre 20 et 45% des femmes pratiquent la sodomie. La sodomie et les femmes n’est pas un mythe !
#6 : Les hommes hétérosexuels qui aiment les relations anales sont réellement gay
Du fait que les relations anales sont faussement mais intrinsèquement liées aux hommes gays et au sexe gay, il existe des légendes qui disent que si un homme souhaite avoir des relations anales, il doit forcément être gay. Dans la plupart des cas, les hommes identifiés comme étant hétérosexuel et qui souhaite des relations anales avec une femme (qui s’agit de donner ou de recevoir une sodomie) ne sont pas en train de refuser des désirs ou tendances homosexuelles. Leur désir ne repose pas sur leurs préférences sexuelles dans un type de partenaire. D’ailleurs, on ne se pose pas la question de savoir si un homme hétérosexuel qui aime la fellation est gay ou pas. Même si la fellation est beaucoup plus pratiquée dans les milieux homosexuels que la sodomie.
#7 : Les relations anales sont à chaque fois douloureuses pour la personne qui se fait sodomiser
Avec le désir, l’excitation, la relaxation, la communication et la confiance (et du lubrifiant en bonne quantité), les relations anales ne sont pas seulement non douloureuses. Elles sont également excitantes voire même orgasmiques. Le sexe anal n’a pas à être douloureux le moins du monde, même un tout petit peu. Si c’est le cas, votre corps vous pousse à devoir arrêter la séance de sexe anal. Si vous ignorez ce que vous communique votre corps et continue la séance, vous pouvez véritablement vous faire mal, ce qui amènera chez vous une tension supplémentaire lors de votre prochain essai. Votre corps a une mémoire, n’essayez pas de le duper. D’ailleurs, n’hésitez pas à lire l’article pour éviter une sodomie douloureuse !
#8 : Les femmes n’apprécient pas de se faire sodomiser, elles le font uniquement pour faire plaisir à leur partenaire
Il s’agit ici d’une légende insidieuse au sujet de l’hétérosexualité des femmes. Souvent, lorsqu’on entend qu’une femme a eu des relations anales, l’histoire est la même. L’homme a dû supplier et supplier sa partenaire avant qu’elle ne cède à sa demande. L’homme était ravi de cette sodomie mais sa partenaire n’a pas appréciée un instant de cet acte. On n’entend que très rarement le cas où la femme à adorée une séance de sodomie. Où la femme à initiée la sodomie dans le couple. Voire encore d’une femme qui est plus que contente d’avoir pu pénétrer l’anus de son homme. La pénétration anale est souvent vu comme l’ultime fantaisie sexuelle de l’homme. Alors qu’en fait, notre culture ne comprend pas combien une femme peut aimer se faire prendre le cul. Il y a encore beaucoup à faire sur la relation entre la sodomie et les femmes
#9 : Les relations anales sont la manière la plus simple d’avoir le sida
Parce que le tissu anal et rectal est délicat, il peut facilement se déchirer. Les virus peuvent plus facilement se transmettre au travers des tissus jusqu’aux flux sanguins. Les relations anales sans protection avec une personne infectée est une activité à risque plus élevé pour les deux partenaires. Statistiquement plus élevé qu’un coït vaginal avec une personne infectée. Les contacts anales et orales placent également les deux partenaires sont une situation à risques. Le sexe anal pratiqué avec du bon sens, des préservatifs, des gants et du lubrifiant où avec un partenaire séronégatif monogame est tout aussi sain et sûr que toutes autres pratiques sexuelles.
#10 : Les relations anales sont coquines et mauvaises
Ici, cette légende est à la fois vraie et fausse. Bien sur, le sexe anal n’est pas vraiment mauvais pour vous et ne fait pas de vous, une mauvaise personne. Cependant, pour ceux qui sont excités par l’idée que le sexe anal est tabou, déviant et mauvais, ne me laissez pas vous contredire. Nombreuses personnes aiment la sodomie car c’est justement un acte tabou.
La note des lecteurs
- Noté 4 stars
4 / 5 (Lecteurs) - Excellent
Votre note
A vrai dire, Mogwai parle souvent (très souvent) de sodomie masculine et de massage de la prostate donc c’est vrai que j’ai accès mon article sur les femmes. Mais tu as totalement raison, un anus est un anus, même combat pour tous!
Perso j’ai besoin d’une longue préparation mais Mogwai se dilate plus rapidement. D’ailleurs je ne passe pas assez de temps là dessus, même s’il est vite prêt, il adore les anulingus !!!
Encore merci!
Précisons aussi que certaines personnes, plus habituées à la sodomie que d’autre, sont capables de détendre leur anus très rapidement. Il faut donc adapter la durée de la préparation à son partenaire. Moi, je tente parfois le 2e doigt avant la pénétration. J’ai aussi lu une femme dire qu’elle ne supportait pas les doigts et qu’elle voulait la queue direct ! Comme quoi, y a la règle, et y a toujours les exceptions !
Ces deux phrases résument tellement bien le vrai problème. La confiance… et la communication. L’un va difficilement sans l’autre, et au niveau du sexe, les deux sont primordiaux. Le sexe ce n’est pas du porno. On ne le répètera jamais assez. Le porno ne montre rien de tout ce qui fait la réalité. Dans le porno, ça a toujours l’air facile, très peu douloureux, et très propre.
En vrai, l’article le précise bien, ce n’est pas aussi simple. Ma première sodomie, par exemple, s’est très mal passée. Si mal que j’ai hésité longtemps avant de retenter l’expérience. Le partenaire avec qui j’ai réessayé m’a vraiment mise en confiance. On en a parlé, il ne m’a forcé à rien, et pour que ce soit plus simple, on l’a fait dans le bain. Alors que le premier ne s’inspirait que du porno, le second était à l’écoute de MON corps.
Il ne suffit pas d’un peu de salive… alors que je le suçais, j’avais un plug anal, quand on a fait l’amour, je l’avais toujours. La première sodomie avec lui, même s’il était mon partenaire régulier depuis plusieurs semaines, il l’a faite avec un préservatif… et avec du lubrifiant. Je n’ai pas eu mal… ce n’était pas des plus confortables, la sensation était étrange… Il s’y est repris à deux ou trois reprises pour arriver à me pénétrer, mais finalement NOUS y sommes arrivés.
Et, alors que la première avait été un véritable échec, cette sodomie a déclenché un orgasme. C’était ma première sodomie avec lui, et je jouissait déjà. Je n’ai pas eu mal, mes fesses étaient déjà mouillées par l’eau chaude du bain, le lubrifiant aidant, je n’ai pas ressenti de douleur. L’inconfort a vite été oublié, le plaisir m’a submergée… C’était ma première sodomie avec lui, pas la dernière. On l’a refait très souvent, sans plug… sans préservatif, même sans lubrifiant. J’ai pris mon pied à chaque fois.
Actuellement, je ne suis plus avec cet homme depuis quelques mois. Pourtant, avec MA nouvelle partenaire, nous continuons à pratiquer la sodomie. L' »outil » n’est plus le même, évidemment, Mais même ELLE sait y faire, elle est à l’écoute de mon corps, de mes envies. Et c’est toujours un plaisir immense d’être stimulée à cet endroit.
Tout n’est qu’une question de confiance !
Il y a beaucoup de choses à retenir, la confiance dont tu nous parles et également le fait de ne jamais rester sur un échec! il faut essayer avant de dire « je n’aime pas » et d’ailleurs, j’ai bien noté, NOUS avons tous bien noté que tu essayes la sodomie sous tous les angles et avec des partenaires plus ou moins équipés pour!
Merci pour ce premier commentaire et de grande qualité qui plus est!
Et oui, l’acte sexuel anal ne dépend pas que du partenaire, mais surtout de la relation qui existe entre les deux personnes. Que ce soit un homme et une femme, deux hommes ou deux femmes, la solution est toujours la même : le premier acte anal doit être amené par le dialogue et le consentement de chaque partie. C’est comme toute première fois, ça peut faire mal, on peut ne prendre aucun plaisir, on peut y trouver de l’inconfort… mais ça se passera toujours mieux si on est en confiance, si on discute et si, à force de dialogue, on s’y prépare.
Ma première expérience en la matière ne fut pas provoquée et plutôt inattendue. Elle s’est déroulée avec un « plan Q » rencontré sur le net. Cette précision est nécessaire, en ce que nous ne nous connaissions pas. Nous étions allongé sur le lit après avoir consommé déjà deux fois, quand elle a commencé à me remettre en marche. Mes préservatifs étant hors de portée, je me suis alors dit « tant pis » (je sais, c’est pas bien). Et en fait, sans que je m’en rende compte, elle a entrepris elle même d’insérer ma verge dans son anus. Pour tout vous dire, je n’ai pas réellement profiter de ce moment, j’ai même eu cette impression de me « regarder » la sodomiser. Je n’ai d’ailleurs pas joui. Surtout, en me retirant, comment dire… « quand on passe par là, on sait à quoi s’attendre !! » Sauf que je ne l’avais pas vraiment décidé. Ce n’était pas un viol, mais je n’avais pas été acteur, et plus, je n’en étais pas ressorti propre. Bref, un désastre.
J’ai mis près de deux ans avant de replonger en eaux troubles, mais cette fois-ci, avec celle qui est toujours ma partenaire, pour enfin découvrir les joies et les plaisirs du sexe anal (parfois partagé, mais ce n’est pas ici le sujet).
Cette fois-ci, nous avons pris le temps, à deux, d’explorer cette zone de son corps. Il s’est bien écoulé plusieurs mois entre le moment où nous avons commencé jeux autour de la zone, les stimulations en tous genres, et la première sodomie réussie. Oui, parce qu’il y a eu quelques échecs, mais rien de dramatique, et, je touche du bois, pas « d’accident de parcours ». Juste, quand ça fait mal, ben, on arrête et on ne force pas. Aujourd’hui, nous n’utilisons presque plus de lubrifiant industriel, et ça glisse ! 🙂 La force de l’habitude sûrement, aussi la confiance au sein du couple qui fait qu’elle sait que je ne ferais rien de douloureux pour elle. D’ailleurs, si je peux donner un conseil, ça peut être bien juste de demander à l’autre si « ça va ». Je sais par expérience qu’on ne voit pas toujours l’inconfort de l’autre, et simplement lui poser la question est parfois utile et bienveillant.
La sodomie n’est pas pour nous une finalité, ou même quelque chose de systématique, c’est surtout une possibilité de plaisir supplémentaire. Ainsi, je lui offre parfois un double plaisir, tout seul, comme un grand.
Conclusion: la sodomie, c’est bien, surtout quand les deux partenaires y consentissent vraiment, et librement !
Ps: Je m’excuse de la longueur du commentaire !
Confiance et dialogue sont les mots d’ordre!
J’imagine bien cette première amante « anale » hyper libérée avec des inconnus….. Beaucoup de gens le sont ou aiment à le penser (cf une de mes réponses à un commentaire plus haut)…. Le mot viol n’est en effet pas adapté mais là on se retrouve dans une situation ou cette femme t’a imposé beaucoup de choses; une sodomie et sa merde…. Pardon d’être crue mais je crois que tu l’as ressenti comme ça!
Tu as su rebondir et redécouvrir ses plaisirs avec une femme, dans une relation établie ou on discute. Selon moi, toutes les relations amoureuses voire sexuelles devraient se dérouler comme ceci!
Pour ce qui est de l’hygiène anale, nous avons écrit un article sur le sujet et un test est prêt, (je te rassure, pas de vidéo de lavement), il devrait sortir très prochainement.
Enfin, tu nous dis du bout des lèvres que tu as toi aussi découvert le plaisir anal, cela m’intéresse beaucoup! Comme tu as pu le constater, nous parlons beaucoup de ça sur ce blog car Mogwaï adore ça. Le cheminement est long et nous essayons de l’expliquer au mieux et d’aider quelques lecteurs en répondant à quelques interrogations.
Dans notre couple, nous pratiquons davantage la sodomie su monsieur, il en est très friand et je dois reconnaître que j’adore cette inversion des rôles. Dans mon cas, la sodomie est un réel plaisir depuis qu’elle se pratique dans une relation établie, c’est pour cette raison que je te rejoins totalement sur la nécessité de connaitre la personne. Je prends beaucoup de plaisir mais n’ai pas encore réussi à jouir de la sorte…. ceci pour une seule et simple raison, lorsque je suis très excitée, j’ai la fâcheuse manie de me caresser le clitoris et de jouir ainsi, il va falloir que je travaille ça!
Je te remercie beaucoup pour ton commentaire, le premier je crois! Tu partages avec nous ton intimité et ça me flatte beaucoup!
Lorsque tu auras envie d’en parler, n’hésites pas à rebondir sur les articles relatant du plaisir anal masculin !
Encore merci pour ta participation!
Oui, je pense vraiment que la base de tout est la complicité! C’est elle et rien d’autre qui permet de repousser les limites en toutes circonstances.
Pour ce qui est du plaisir anal masculin, pour l’aborder brièvement, ça demande une confiance en sa partenaire (du moins il me semble) en ce que ce n’est pas… comment dire, dans l’ordre des choses. L’homme a une sexualité « externe » via son pénis, il n’est pas censé recevoir. Donc faire un pas dans l’autre sens nécessite une très, très grande confiance.
Pour ma part, je ne suis pas (encore?) adepte du pegging. Mais j’apprécie énormément les caresses, les coups de langue, et l’intrusion de temps en temps d’un doigt qui vient s’appuyer sur ma prostate. Pour l’instant j’en suis là. 🙂
Lorsque nous nous sommes mises en couple, je savais que cette pratique faisait partie des attentes de ma chérie. Loin de me rebuter, j’ai pris cela comme un challenge. Je suis une femme, et même si je possède et utilise un gode-ceinture, ça reste un objet indépendant de mon corps. Ce n’est pas un pénis comme pourrait le voir un homme. Le plaisir que je ressens au travers de la pénétration n’est pas vraiment physique ou physionomique, mais visuel. C’est voir Hélène onduler devant moi qui m’excite, c’est la voir se cambrer de plaisir, c’est aussi l’entendre gémir. Je n’ai donc pas le même rapport à la sodomie qu’aura un homme qui, lui, ressent la pénétration.
À ce propos, Hélène n’a d’orgasme que si l’objet a la forme et les détails d’un pénis (gland, veines, etc.). Un objet lisse ne lui procurera que peu de plaisir. La sodomie dans notre couple n’est donc pas comparable à la sodomie entre un homme et une femme, ou même entre deux hommes. C’était donc un challenge pour nous deux de prendre du plaisir dans un acte qui nécessite un instrument. Mais c’est grâce à une préparation minutieuse que nous sommes arrivées à prendre du plaisir, à deux, grâce à la sodomie. Nous en avons beaucoup parlé avant, mais aussi après notre première fois. Et c’est grâce à ces discussions que j’ai pu réussir ce qui n’est, finalement, pas si facile à appréhender lorsqu’on est une femme, inexpérimentée dans le sujet, qui doit prendre le rôle d’un homme. C’est la confiance que nous avions l’une en l’autre, c’est la communication et l’ouverture d’esprit qui nous ont permis de réussir ce challenge.
Aujourd’hui, la sodomie représente une part importante de notre relation. Nous la pratiquons quasiment à chaque rapport… et il y a peu, ayant vaincu ma réticence, nous avons même inversé les rôles. J’ai donc découvert, à mon tour, un nouveau plaisir. 🙂
Tout d’abord, merci pour ta participation et la qualité de ton commentaire!
Je comprends totalement ce par quoi tu es passé. A vrai dire, j’utilise également des godes ceintures dans ma relation de couple. Je sais que l’image d’une femme qui sodomise son homme peut-être violente mais pour nous ce n’est pas le cas et on adore ça!! J’ai mis du temps à être réellement à l’aise avec l’engin, maintenant j’ai totalement confiance en moi et je ne lui ai jamais fait mal (à ma connaissance). Le plaisir est psychologique mais dans mon cas est aussi physique…..en effet la base du gode vient « caresser » mon clitoris ce qui me permet de beaucoup jouir de la sorte!
Je te laisse découvrir les joies de la sodomie avec Hélène, j’aime aussi le couple pour ça; les découvertes!
Merci beaucoup à vous deux et bienvenue dans notre petite « communauté »! Je suis ravie de voir qu’un couple de fille aime lire et découvrir ce blog!!
Mais évidemment, je suis tout à fait d’accord, ce n’est a priori pas plus naturel pour la femme que pour l’homme ! ^^
Et la finalité, oui, doit être le plaisir de tous !
Merci beaucoup!
vous connaissez le dicton « l’homme propose la femme dispose » il est encore plus vrai pour la sodomie (et c’est valable pour les gays aussi)
L’anus est un muscle on ne le dira jamais assez et un muscle ca se détend – après y a les limites physiologiques ne les oublions pas – mais en gros si vous suscitez la détente c’est notre anus qui réclamera et il peut réclamer énormément 🙂
Par contre si vous essayez de passer en force … je plein votre gland, imaginez vous arrivez à 120 km et hop poum au milieu un platane ben voilà ca fais un peu ça un muscle qui se contracte …
Alors peace, love, fun and good anal time
mais bon vous en saurez plus lundi matin … wet & see 🙂
Et ce n’est pas faute d’avoir voulu essayer….
La première fois, ça s’est très mal passé, Monsieur à voulu introduire un doigt, je ne pense pas que j’étais très préparée, du coup j’ai eu mal et j’ai bien mis six mois à accepter de réessayer….
Entre temps, il avait pratiqué l’anulingus, et là aussi, je dois être un spécimène rare, je n’éprouve pas de plaisir, les sentations ne me plaisent pas, allez savoir pourquoi, pourtant, il ne manque pas de douceur…..
Pour le second essai, il a tenté, à ma demande, d’utiliser un petit plug assez doux en silicone, j’ai eu moins mal que le premier essai, mais rien à faire, je n’ai pas eu de plaisir, j’ai carrément fini par lui demander d’arrêter…
Depuis, je n’ai pas réitéré, je le laisse de temps en temps passer quelques coup de langue, mais cela ne me procure toujours pas de plaisir. J’avoue que cela me dépite un peu, car, ça fait parti de ses fantasmes, et je pense que ce sera le seul que je ne saurai réaliser…
Je constate bien, en effet que mon anus est dilaté après un orgasme, il se plaît à me le faire remarquer, et pourtant, rien que le fait qu’il entre à peine son doigt, j’ai beau ne pas avoir mal, je n’aime pas du tout la sensation que ça procure.
J’ai été frustré durant pas mal de temps, car je ne suis pas du genre à dire « je n’aime pas » sans avoir essayer.
Voilà pour mon expérience, qui ne vous apporte certainement pas grand chose, et ça dénote sûrement avec les autre commentaire, mais malgré le fait que je ne fasse pas parti de ceux qui aiment, j’ai trouvé vos points de vue enrichissants. 🙂
Encore merci pour ce partage !
D’accord,m avec tous ces points surtout le
-passer le gland et ne plus bouger (j’ai un énorme gland de circoncis)-
sauf un: la position.
D’expérience car j’ai eu la chance (et l’honneur) de dépuceler plusieurs partenaires par cette voie je conseillerais plutôt le missionnaire … Tout simplement pour que la complicité et la confiance (de la partenaire) soit totale … Le regard … Le regard 😉
Je n’ai jamais réussi en levrette… Alors que le plaisir et orgasme était au rendez-vous dès la première pénétration complète réussie en missionnaire.. Car il faut s’attendre à s’y prendre plusieurs fois pas pendant le même rapport bien-sûr !
Bon plaisir à toutes et tous 😉
J’ai lu avec intérêt les commentaires au sujet de la sodomie et les femmes.
Nous les hommes nous aimons sodomisé les femmes et moi particulièrement car cette position à quatre pattes nous voyons le beau fessier de notre partenaire et l’ouverture entre les fesses quand nous allons introduire notre virilité.
Dans la vie, très de femmes aiment cette pratique car vis à vis de la religion c’est sale.
Pour ma part, j’aime toutes les positions du kama-soutra mais aussi la levrette et principalement la sodomie car c’est un bonheur émotionnel pour la virilité d’un homme.
Pour moi, cette position n’est pas de la soumission c’est une émotion charnelle. Car en amour et plaisirs charnels, c’est plutôt la femme qui décide et qui mène le jeu, Dans cette situation, ce sont les femmes qui dominent les hommes.
Chez nous on pratique pas … Je crois que ça nous attire pas au fait…surtout monsieur , pas assez en tout cas pour qu’on le fasse !
Dans une autre relation ( j’étais plus jeune ) je l’ai pratiqué plusieurs fois car mon compagnon de l’époque aimait ça , je garde un souvenir moyen, ni bon ni mauvais , je le faisais plus comme un don et une ouverture à ses désirs sans me forcer non plus , ça passait quoi!!!
J’ai eu une fois un soucis …mais ça nous a pas marqué du tout!!!
Faut croire qu’on était cools!!!
A vous entendre …une fois qu’on y a goûté, on dirait que ça devient qqch de très important , peut être un peu obsessionnel ???
et qui apporte beaucoup ? ou plus de plaisir ???
Je me rappele aussi qu’à l’époque le sentiment d’interdit ou de qqch d’exceptionnel m’attirait plus que l’acte lui -même!!!
Le mental est fort là dedans et compte aussi bcp!!!
Ceci dit comme je suis curieuse et plutot ouverte d’esprit et que mes amies me conseillent parfois l’anal, j’ai essayé un petit plug , j’avais peur que sans stimulation depuis de longues années mon petit c… ne supporte pas , et bien c’est rentré comme dans du beurre, je me suis imaginée qu’ en duo avec un bon orgasme avec mon Womanizer? ça doit être pas mal comme sensations , prochaine étape : j’attends que le beau me l’enfile !!!!
On verra , à suivre !!!
Ceci dit : c’est ici sur ce site que j’ai appris qu’on pouvait prendre un homme , soit la pratique du pegging, je connaissais les plugs, légèrement , mais les femmes qui portent des godes ???jamais
Ca m’a troublée je dois dire, dans le sens confusion des rôles , mais à présent en lisant toutes les expériences je vois ça comme une pratique qui apporte du plaisir à l’homme …sa prostate
Et visiblement à la femme aussi !!!
Pour homme par contre hors de question d’avoir un truc dans le c…
Ca ne l’attire pas du tout!!!
C’est comme ça!!!!
C’est le cas de ma compagne, qui m’a initié au plaisir de cette pratique, alors qu’accidentellement, j’avais glissé dans son petit puit. J’ai remarqué alors un petit râle de plaisir qui ne m’a pas trompé, très furtif, mais aussi très révélateur pour moi. …
Par le dialogue, j’ai compris qu’elle aimait (aussi) cette pratique, et je n’ai eu qu’à me laisser guider pour apprivoiser cette pratique, qui au départ me semblait un peu hors de propos.
Nous ne le faisons pas à chaque fois, mais assez régulièrement, lorsque nous en avons envie tous les deux. Il faut dire qu’elle jouit très fort lorsqu’elle est prise par là, et que son puissant orgasme déclenche le mien. Ce qui a pour aspect pratique de ne laisser personne « sur le quai », et de passer de la position levrette emmanchée, à la position dite « cuiller », le temps de déguster et de reprendre ses esprits.
Comme précisé dans l’article ci dessus, nul besoin de faire de gros préparatifs, ni lavement. Ma compagne sait si le terrain de jeu est praticable, et pour se rassurer, passe aux toilettes faire une brève investigation digitale pour confirmer que la voie est libre.
Petit détail : nous n’utilisons que très rarement du lubrifiant. En effet, les sensations pour les 2 partenaires sont différentes avec ou sans emploi de lubrifiant. Avec l’utilisation de lubrifiant, on gagne en confort, mais on perd en sensations ! Moins de frottements, moins de sensations délicieuses du gland dans les tissus intestinaux, etc…..
Des préliminaires adéquats, et un peu de salive permettent une pénétration lente, où on savoure chaque millimètre de pénétration…..autant le donneur…..que le receveur !
Bons plaisirs à tous !