En ce moment, la période est propice à de nouvelles expériences, notamment des expériences avec une sodomie. En voici une nouvelle plutôt piquante, un mélange de plusieurs choses que j’ai apprécié. Le genre de soirée que j’aime bien passer. Mélange de sodomie et de fessée érotique. Il était 23 h, Lilou était déjà allongée sur le lit, sur le dos, en attendant ma venue.

J’avais pris pour l’occasion certains accessoires et mon choix s’est porté sur des menottes, une chaine avec pinces à seins, un bâillon-boule, un plug et du lubrifiant à effet de froid (le Pjur Cool), ainsi que le paddle que nous avions testés il y a quelques jours. Afin de débuter la séance, je commence à me frotter à elle. Puis je dépose quelques baisers dans son cou et joue avec sa peau. C’est alors que j’attrape la paire de menottes et lui attache les mains derrière le dos afin d’être sûr qu’elle ne puisse pas intervenir.

Début de l’expérience d’une sodomie

Je commence alors à enlever mon jean et me masturbe devant elle afin de l’exciter. Je sais qu’elle apprécie avec plaisir quand je prends le temps de le faire. Après avoir un peu joué avec son excitation, je reviens de nouveau vers elle. Je continue les frottements. Mais à l’exception que cette fois-ci, mon sexe en érection se retrouve au contact de sa culotte noire et rapidement de son clitoris.

Comme je sais qu’elle apprécie particulièrement lorsque je lui claque ses seins et que le paddle n’était pas loin, j’en ai profité pour m’initier. Habituellement, je fais appel de mes mains, mais cette fois-ci, le paddle était mis à contribution. La face en cuir plat s’abattait sur sa poitrine, sans forcer, juste en tapotant ces derniers. Pour encore plus renforcer sa sensation de plaisir, je m’amusai à lécher ses tétons avant de leur dispenser de petites tapes.

Avant de pratiquer une sodomie, on se la joue BDSM

Alternant les petits coups de paddle et les grands coups de langue, je pouvais voir à l’expression de son visage et aux petits gémissements qu’elle poussait, que la séance lui plaisait beaucoup. Après quelques minutes, pris par la folie de l’accessoire, je décide de la détacher. Mais ce n’est pas pour autant que je décidai de la laisser tranquille. D’une main, je pris la chaîne avec pinces à seins pour qu’elle puisse la tester pour la première fois. Je lui lèche un peu plus ses tétons avant de lui confier la chaîne pour qu’elle puisse placer les pinces selon ses envies.

Ne souhaitant pas lui faire mal, j’ai préféré lui laisser le champ libre afin d’apprendre à maîtriser la douleur que les pinces procurent. Puis de placer la chaîne comme bon lui semble. Une fois celle-ci en place, j’étais pressé de lui faire découvrir la sensation que l’on ressent lorsqu’une langue s’attelle à lécher un téton pris au piège de la pince. Tout en tirant légèrement sur la chaîne, je m’affaire à alterner entre le sein gauche et droit, avant qu’elle ne retire les pinces. La douleur était un peu trop aiguë pour elle, mais pour une première fois, c’était encourageant et excitant.

Encore des coups de Paddle

Pour continuer la séance, je décidai alors de reprendre le paddle en main, en lui tapotant légèrement les fesses. Je sais qu’elle apprécie beaucoup les coups de paddle de niveau moyen, je n’abuse ainsi pas de ma force pour augmenter la douleur. Au fur et à mesure des claquements du paddle, elle se retourne petit à petit sur le ventre, laissant ainsi un accès à ses fesses et à son sexe.

Tout en continuant de la fesser, je glissai un doigt à l’intérieur d’elle pour me rendre compte de son niveau d’excitation. Elle était déjà bien mouillée. Comme un accord, nous décidons de passer à la suite des événements. Le plug était à coté de moi, puis dans ma main, avant de se retrouver à l’entrée de son vagin. J’entreprends alors de le faire glisser le long de ses lèvres, puis d’insérer la tête ronde du plug en elle. Petit à petit, sans trop forcer, le sex-toy continue sa route. Mais pour faciliter les choses, je décida alors de coupler l’insertion du plug à un cunnilingus.

Préparation à une sodomie avec des accessoires

Quelques instants plus tard, le plug était quasiment entré en elle, ma langue continuait toujours de lécher son clitoris. Ce n’est que peu de temps plus tard, que le plug avait fini sa route. La poignée de celui-ci à la verticale, une des deux parties frottait ainsi sur son clitoris. J’en profitai pour appliquer quelques pressions sur le plug, afin de stimuler l’intérieur de son vagin en même temps que la stimulation de son clitoris.

Pourtant, on savait très bien que ce n’était que les prémices de nos envies. Afin de donner vie à ces idées, en l’occurrence, celle de la pratique de la sodomie en même temps que de me faire plaisir, je sors le plug délicatement de sa chatte. Puis j’attrape ses fesses, commence à les caresser de nouveau et glisse timidement ma langue au creux de son anus. Calmement, je tente de la rassurer, de la mettre à l’aise. Mais finalement, je sens qu’elle n’est pas complètement détendue à l’idée. Néanmoins, elle semble appréciée sans pour autant y prendre énormément de plaisir. Qu’importe, le but étant de lubrifier légèrement l’anus avant de la prendre par les fesses pour une sodomie.

Une sodomie après un anulingus

Adorant pratiquer l’anulingus, j’attrape ses fesses rebondies de mes deux mains, écarte celles-ci et y glisse ma langue avec plus d’assurance et surtout de manière plus profonde. Celle-ci rentre littéralement en-elle, avant d’en ressortir plusieurs fois. C’était véritablement une pénétration anale à la douceur d’une langue mouillée.

Après avoir excité son petit derrière avec ma langue, je prends l’initiative d’y glisser un doigt avant de débuter cette pratique de la sodomie. Je suis surpris de voir par quelle facilité, celui-ci s’insère sans mal. J’entreprends quelques mouvements d’aller et de retour, avant qu’elle ne me glisse une nouvelle demande. Celle d’y insérer un doigt supplémentaire. Afin de rendre les choses plus agréables et quelques noisettes de lubrifiant à effet de froid à disposition, je glisse en elle un second doigt lubrifié avant de la stimuler de plus belle.

C’est le moment d’insérer ma queue pour une sodomie

Mais rapidement, elle me demande d’y insérer ma queue. Je lubrifie ainsi mon pénis pour lui offrir une expérience de sodomie agréable. Approchant mon sexe de son anus, je commence par lentement insérer mon gland. Puis peu à peu une partie de la hampe avant de commencer de très lents mouvements de va-et-vient, sans brusquer les choses. La sensation est divine, je prends un grand plaisir à la pénétrer ainsi. Malgré la lenteur, le plaisir est bien là. Et au fur et à mesure de son excitation, je commence alors à monter un peu le rythme de manière crescendo. Le plaisir de cette sodomie est intense, pour moi comme pour elle, de son coté, elle ne sait pas faite prier pour glisser sa main au niveau de sa chatte pour se masturber tout en se faisant sodomiser.

Lilou adore que je l’encule

Elle me dit oh combien elle aime que je l’encule. C’est alors, dans la position de la levrette, que je commence à accélérer un peu plus les choses. Je sens son orgasme arrivé au son de sa voix. De mon coté, le plaisir de cette sodomie était fort et difficilement contrôlable. En moins de 30 secondes de pénétration anale soutenue, j’éjacule à l’intérieur de son anus. Tandis qu’au même moment, elle se délecte de l’orgasme qu’elle ressent.

Conclusion sur l’expérience d’une sodomie

Au final, la séance était électrique. Le plaisir de cette sodomie fut intense. Mais le bâillon-boule n’avait pas changé de place entre le début et la fin de la séance. Une autrefois peut-être. Par contre, c’est quelques minutes après la séance de sodomie, qu’elle se rend compte de quelque chose. La porte vitrée du balcon était encore restée ouverte. Je pense que les voisins ont pu profiter d’une belle programmation sexuelle. Entre une sodomie, anulingus, cunnilingus et fessée érotique, autant vous dire que ceux qui ont tendu l’oreille devaient être sacrément excités.