Dressage de ma soumise – Les débuts

Voici une grande expérience qui sera mise à jour dans le temps, le dressage de ma soumise. Entre l’expérience et le récit de vie, je vais partager avec vous cette nouvelle étape, avec des mises à jour au fur et à mesure de l’évolution de notre couple avec Kitty. Cela peut-être intéressant pour ceux et celles qui veulent également se lancer dans une relation en partie gérée par le BDSM et la relation dominant(e)/soumis(e). Voici comment a commencé le dressage de ma soumise !

Tout commence ou presque d’une discussion

Tout est parti d’une discussion sur le dressage de ma soumise. Le jour précédent, j’avais annoncé l’envie de la dresser à devenir une bonne petite soumise, ce qu’elle apprécie beaucoup. Malheureusement, je n’ai pas réussi ou je n’ai pas été aussi dominant qu’elle le voulait lorsqu’elle est rentrée du boulot. Et bien entendu, nous avons discuté de cela.

Communiquer, la base

Moi, je suis assez compliqué dans les discussions, mais j’essaye de communiquer. Et Kitty est très compréhensive et connaît ma manière de discuter, entre « je ne sais pas » et « snirfoplalte grunch« , qui ne veut rien dire, bien entendu. J’exagère, je ne suis pas non plus ainsi, mais je sais qu’elle est douée d’une grande patience.

Une plus grande liberté

Après plusieurs discussions qui s’entrecroisent, j’arrive à lui dire que ce n’est pas évident pour moi de la dominer, que je n’ai pas l’habitude, en tout cas, à un autre niveau. Peut-être ai-je peur de sa réaction sur ce que j’aimerais lui faire ou lui dire ? C’est un peu ce qui est ressortie de cette discussion.

Elle attend que je me lâche plus et que je commence le dressage de ma soumise, en prenant plus confiance en moi. Mais aussi, en dirigeant plus les choses. J’avais compris son message et je voulais parvenir à lui donner ce qu’elle souhaitait. Car de mon côté, j’en avais envie également.

Une précision

À ce jour, au moment où j’écris cette expérience, je suis tout de même dominant. Vous le savez peut-être, je suis plutôt « Switch« , j’aime être autant dominant que dominé, mais je peux aussi avoir des blocages. Ce n’est donc pas vraiment le démarrage du dressage de ma soumise qui commence, mais plutôt le récit de celui-ci.

Et en me lançant dans cette aventure, un article mis à jour régulièrement avec la suite du dressage de ma soumise au fur et à mesure me paraissait une bonne idée. Je rappelle que tout cela s’effectue dans un cadre de jeu de couples, j’aime Kitty et je la respecte dans ce qu’elle souhaite faire et ne pas faire.

Le premier jour du dressage de ma soumise

Le lendemain, j’avais pu cogiter un peu sur la discussion de la veille, je décide alors de tenter cette aventure. Celle de faire le dressage de ma soumise pour répondre à cette demande que je n’avais pas honorée. Surtout que l’idée d’aller plus loin et de me lâcher davantage n’était pas pour me déplaire. Je devais réussir à passer peu à peu ce cap.

Au petit matin

À son réveil, dès le matin, je me faufile dans la chambre et je défais mon peignoir. C’est alors que je m’approche du lit en commençant à me branler devant elle, malgré l’obscurité de la pièce. Je me masturbe non loin de sa bouche en lui faisant comprendre qu’elle pouvait avoir sa queue. Je décide alors de me mettre sur le lit, sur mes genoux pour être plus à l’aise, avant d’attraper sa tête pour l’enfoncer sur ma queue en érection.

Ce sont des mots que je dis parfois, mais là, j’avais envie de mettre l’accent sur le mot « maître », lui montrer que son dressage avait commencé et que j’allais en faire ma bonne petite pute soumise.

Je lui baise sa bouche

Alors qu’elle continue de me sucer, j’enfonce de plus en plus ma queue au fond de sa gorge. J’aime sentir celle-ci frotter contre mon gland, lui enfoncer ma queue au fond de sa gorge et baiser celle-ci. C’est alors que je la force bien à me sucer, à s’occuper de la queue de son maître comme une bonne petite soumise. J’aime la sentir à mes ordres, savoir qu’elle fera tout ce que je lui dirai de faire et la punir si elle ne respecte pas mes ordres.

Je décide de la frustrer un peu

Alors que je lui baise sa bouche à plusieurs reprises, sans pouvoir m’arrêter, je décide de continuer le dressage de ma soumise en lui annonçant la chose suivante.

L’idée me plaisait bien et j’avais envie qu’elle sache qu’à tout moment, je pouvais être en train de me branler en pensant à elle alors qu’elle n’était pas là pour profiter de sa queue.

Les préparatifs

Après un premier cappuccino et avant qu’elle n’aille se préparer, je viens poser le second devant elle et commence à me branler en lui faisant face. Je continue ainsi pendant moins d’une minute et lui donne l’ordre de bien me branler. J’adore quand elle me branle bien fort, sa main qui entoure mon pénis et son regard de cochonne qui a envie d’avaler sa queue. Elle me suce, me branle, caresse mes couilles, pendant que j’alterne aussi par des va-et-vient dans sa bouche, en tenant bien sa tête pour mettre ma queue entière dans sa gorge.

La douche

L’heure passe et il est temps que ma petite soumise prenne sa douche. Je lui dis que son maître va se branler devant elle pendant qu’elle se lave. Je vais me faire un café en attendant d’entendre l’eau couler et je me dirige dans la salle de bain. C’est alors que je me décide à me masturber en voyant son corps à travers le rideau de douche. Je suis excité en voyant un bout de son cul dépassant du rideau. C’est alors que je me branle encore plus fort en lui disant que j’ai envie de son petit cul de soumise.

Que ma petite pute qui pense qu’au cul et à ma queue m’excitait. J’avais envie de lui baiser sa bouche et la sodomiser comme une bonne pute soumise. Mais le temps passait, il fallait qu’elle sorte de la douche.

Elle se prépare

J’ai toujours envie d’elle, je décide alors, après une brève éclipse, de revenir dans la salle de bain, ses fesses au loin m’attiraient. Alors qu’elle se prépare en mettant du mascara, je fais glisser ma queue au repos sur ses fesses, ce qui ne tarde pas à la faire grossir. Son cul m’excite, je ne peux m’empêcher de me branler sur ses fesses, de faire glisser ma queue sur son cul et entre ses fesses. Je la laisse poursuivre sa préparation, l’heure tourne de plus en plus.

J’en profite à nouveau pour me branler devant elle pendant qu’elle enfile encore son pantalon. Puis, je décide de lécher ses seins tout en continuant à me branler devant elle. Je lui dis à nouveau que je vais me branler en pensant à elle lorsqu’elle sera arrivée son taf.

Sur le départ

Les préparatifs prennent fins, ma petite soumise termine d’attraper les derniers objets indispensables pour partir. En l’observant, je sors ma queue pour me branler devant elle alors qu’elle cherche ses clefs. Elle regarde ma queue avec envie et je lui annonce : 

Alors qu’elle me branle, elle me fait comprendre qu’elle doit partir. Je lui glisse à nouveau que je vais bien branler ma queue qui a très envie de gicler partout sur elle, en pensant à ma bonne petite pute. Le dressage de ma soumise avait commencé.

Pendant qu’elle travaille, les SMS

Pendant qu’elle commence sa journée, les premiers textos et même sextos arrivent. Le premier est un message d’amour, le second commence déjà à devenir plus coquin. Voici quelques extraits de SMS reçus et envoyés dans la journée.

Le retour de ma soumise

Ce dernier SMS était l’annonce de son arrivée imminente. Une vingtaine de minutes plus tard, je l’entends monter les escaliers avant d’arriver à notre porte. Alors qu’elle commence à tourner la clé dans la serrure, je lui ouvre la porte de mon côté. Elle pose alors son sac à main et je lui annonce de se mettre à genoux et de sucer ma queue.

Un peu de frustration

Elle s’exécute, mais se tient sur ses pieds en étant accroupie et non en étant vraiment à genoux. J’enfonce alors ma queue dans sa bouche un peu plus loin, lui baise sa bouche avant de la laisser se relever. L’heure de préparer le repas arrive, je commence à faire la cuisine et lui ordonne de branler ma queue pendant que je suis aux fourneaux. Elle commence à le faire, mais je lui dis d’arrêter assez rapidement à mon envie, pour la frustrer un peu.

Les devoirs à la maison

Je prends un petit break dans la préparation du repas pour la fesser un peu dans la cuisine en lui disant qu’elle ne s’était pas agenouillé tout à l’heure et qu’elle méritait une bonne fessée érotique. C’est alors que je lui annonce qu’elle va devoir remplir un questionnaire avant de vraiment commencer le dressage de ma soumise. Il s’agit d’un questionnaire avec les pratiques, supplices et accessoires BDSM qu’elle accepterait de faire pour son maître. C’est d’ailleurs un questionnaire que j’ai personnalisé dont je vous reparlerai plus tard.

La fin de journée

C’est une fois le repas préparé et le questionnaire déjà bien rempli qu’on se dirige vers le salon pour manger. Après le repas, je commence à me branler sur le canapé à côté d’elle. Je l’accompagne de ma main pour qu’elle puisse me sucer, me branler, allant jusqu’à me faire gicler à la main en avalant ce qu’elle a pu obtenir à ce moment.

Conclusion sur le premier jour de dressage de ma soumise

C’était une première journée très enrichissante, permettant de mettre à plat les choses et de commencer à s’amuser encore plus ensemble. Notamment en se faisant encore plus confiance et en avouant nos envies communes. Il s’agira d’ailleurs de la prochaine partie de ce récit du dressage de ma soumise ! La suite arrivera prochainement dans le même article !