Ah, les préliminaires de la sodomie ou comment bien préparer les fesses pour que tout se passe bien ! À présent que nous avons vu les divers aspects de la sodomie avant l’acte en lui-même, il est temps de parler des préliminaires de la sodomie. En effet, la sodomie ne doit pas être une pratique douloureuse. Mais pour obtenir ce résultat, il faut érotiser la zone anale avant une pénétration. Ceci afin de provoquer du plaisir chez son/sa partenaire.
De plus, si vous êtes des fidèles lecteurs et lectrices du site, vous devez déjà connaître l’existence de mon article pour éviter une sodomie douloureuse avec quelques conseils pour éviter cette situation.
Les préliminaires de la sodomie : Prise de conscience
Sommaire
Comme vous le savez sans doute si vous avez lu mes autres articles sur la sodomie, l’anus est un organe sexuel important. La première chose, c’est d’en prendre conscience. Pour ma part, il m’a fallu un certain moment avant d’accepter le plaisir anal. Mais à partir du moment où j’ai accepté celui-ci comme organe sexuel, les sensations sont incomparables. Les préliminaires de la sodomie sont là pour érotiser cette zone. D’ailleurs, deux articles peuvent vous intéresser à ce sujet, le premier pour apprendre à initier un homme au plaisir anal et le second sur la confession du plaisir anal.
Car même si la zone anale est munie d’une multitude de terminaisons nerveuses la rendant ainsi très réactif aux stimulations, l’aspect psychologique à son importance. Certains ont besoin de passer par une phase d’apprentissage. Tout comme la masturbation, les premiers essais étaient loin d’être ceux d’aujourd’hui. La sodomie demande également cet apprentissage de son corps.
Mais ici, tout le monde n’est pas fait de la même façon. Certains pensent que le plaisir anal est avant tout psychologique, d’autres considèrent qu’il est purement physique. Pour ma part, je pense qu’il s’agit des deux à la fois. Les préliminaires de la sodomie permettent de s’en rendre compte. Il suffit de pratiquer l’anulingus, pour se faire une idée de la chose.
Préliminaires de la sodomie et zones érogènes
La zone anale est une zone érogène, amenant donc la naissance du désir. Dans les zones érogènes, on distingue deux zones : les primaires et les secondaires. Pour ce qui est des zones érogènes secondaires, il s’agit de région de peau ou de muqueuse dont la stimulation amène l’excitation des zones érogènes primaires. Les zones érogènes primaires se différencient par le fait que leur stimulation directe peut amener l’orgasme. Classiquement chez l’homme le pénis et le gland et chez la femme, la vulve, le vagin et le clitoris. Dans tous les cas, les préliminaires de la sodomie permettent d’expérimenter une meilleure pratique de celle-ci.
N’hésitez donc pas à prendre votre temps ! La sodomie est un plaisir sans nom et les préliminaires jouent un rôle majeur dans cette pratique. Car si certains ou certaines n’ont pas besoin d’une grande phase de préliminaires avant de se faire prendre les fesses, d’autres ont besoin de beaucoup plus de temps. Il faut également savoir s’adapter.
Mais avant les préliminaires de la sodomie, il y a l’acte
Les préliminaires de la sodomie, c’est bien, mais il y a aussi l’acte en lui-même. J’avoue, j’adore la sodomie. Mais cette pratique sexuelle reste tout de même aujourd’hui sûrement, le plus gros tabou de notre société. Pour couronner le tout, c’est sûrement la pratique la moins traitée tout en étant soumise à d’innombrables légendes et absurdités. Alors que nombreux considère cette pratique comme un tabou, une perversion sexuelle, une pratique douloureuse et sale. Pire encore, certaines personnes pensent que c’est une sorte de sexualité refoulée chez les hommes hétérosexuels. Il est temps de retirer le voile sur ces idées reçues et de vous proposer une introduction à la sodomie digne de ce nom !
Introduction à la sodomie, une idée reçue ?
En réalité, ceux qui pratiquent la sodomie vous diront presque tous le contraire. Et bien sur, j’en fais partie. Cette pratique, c’est un peu comme si on faisait quelque chose d’interdit. Une transgression fictive selon moi, mais l’excitation de cette pratique controversée reste gratifiante. Pourtant, la transgression n’est que psychologique. C’est uniquement dans notre tête. De nos jours, la sodomie est bien plus rependue qu’on ne le pense.
D’autre part, on prend plaisir à transgresser la nature. Cette pratique n’a aucune finalité de reproduction, surtout dans un orifice prévu pour évacuer. Mais c’est encore le sentiment de ne faire qu’un de la manière la plus intime qui soit avec l’autre. Mais autant vous le dire, le plaisir physique est sans doute le plus important. Car oui, le plaisir anal existe, je dirai même, l’orgasme anal existe ! Un orgasme complet, très intense, violent mais difficile à maîtriser. Quoi qu’il en soit, la sodomie n’est pas sale. Elle n’est pas interdite dans notre pays et il serait dommage de s’en priver.
Un orgasme anal universel ?
Comble du plaisir, l’orgasme anal est universel. C’est le même pour tous le monde et çà c’est tout de même magique quand on y pense. Si vous n’êtes que peu au courant des choses sur cette pratique, sachez qu’il est avéré qu’une femme peut avoir un orgasme en se faisant sodomiser. Mais le cas inverse est également possible. C’est-à-dire qu’un homme peut également tout autant jouir de cette manière. Ici, on parle plus d’orgasme prostatique. Par pitié, arrêtez les préjugés sur cette pratique ! Que ce soit les préjugés venant d’hommes ou de femmes. La sodomie est tabou. Faites-en une normalité !
Avant les préliminaires de la sodomie, mettons nous d’accord
Lorsqu’on parle de sodomie, on parle de réception et d’action ou plus communément dans les conversations, d’actif et de passif. Mais justement, parlons de tout çà. Quand on parle de sodomie, on parle de soumission, de possession et même d’humiliation. On associe souvent le réceptif à la féminité et à la faiblesse et l’action à la masculinité et à la force. Pourtant, savoir recevoir, c’est tout autant important que de savoir agir.
Recevoir une sodomie
En effet, recevoir une sodomie peut être vu de différentes manières, mais c’est avant tout un acte de don De soi. Dans cette situation, il faut apprendre à se donner totalement et finalement, ce n’est pas tout le monde qui en est réellement capable. Et il y a beaucoup à dire sur le sujet.
La sodomie est un sujet jonché de préjugés. Elle serait soit disant douloureuse et de ce fait, la considérant ainsi comme un acte où le/la soumise se sacrifie. Pourtant, dans une telle pratique, le rapport dominant/dominé n’est pas une fatalité. On fait le choix de considérer l’acte ainsi ou pas suivant notre attitude face à la sodomie.
Sodomie et passivité
D’ailleurs, le terme de passif est vraiment péjoratif. Dans un acte sexuel, il n’y a jamais de passif. Si c’est le cas, vous êtes sans doute en train de pénétrer une poupée gonflable ou un masturbateur en forme de cul. Oui, je le revendique, le passif est peut-être finalement, le plus actif des deux.
La sodomie et la part de féminité
Alors oui, la sodomie n’est pas un acte sexuel anodin car elle est en relation directe avec votre part de féminité, que vous soyez homme ou femme. Autant vous dire que la réflexion de la pratique de la sodomie n’est pas évidente, surtout pour les hommes. La société nous impose sa manière de pensée plutôt que de vous laisser libre de la considérer sans influence externe.
Parfois, savoir se libérer de l’emprise de la société pour réfléchir à une situation hors de son contexte permet de voir les choses différemment. Cela va de même avec la sodomie. Cette pratique était tellement connotée qu’il est difficile pour certains de la considérer de manière objective. C’est tout une affaire de psychologie.
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