Le facesitting, c’est quoi au juste ? Car si on vous parle de notre point de vue sur le facesitting sans vous expliquer la signification de ce terme, on ne va pas aller très loin. Le facesitting vient de l’anglais et signifie « s’asseoir sur le visage« . C’est une pratique considérée comme sadomasochiste. Pour ma part, je la considère juste comme BDSM et encore.

Un des deux partenaires s’assoit sur le visage de son/sa partenaire pour permettre et surtout forcer le contact oral-génital ou oral-anal. Voir encore une simple position de domination et soumission. Maintenant que vous savait ce qu’est le facesitting, on peut commencer notre Double POV sur le sujet !

Le facesitting : Double POV #9

Mogwai
J’avoue, le facesitting, c’est quelque chose qui m’excite. Je m’en cache pas et Lilou d’ailleurs, le sait très bien. Parfois, on pratique un peu le facesitting, même si en réalité, il s’agit d’un dérivé de cette pratique. Évidemment, j’ai découvert cette pratique sur un site de vidéo porno. Une domination des femmes par l’assise (oui, elle est facile celle-ci) qu’elles peuvent avoir sur les hommes. Ce n’est pas tellement le côté domination qui m’intéresse. Mais plutôt la proximité proche et forcée de mon visage en contact des parties génitales d’une femme. Et ici, de Lilou.

Un besoin de comprendre

Mais comme je l’ai indiqué précédemment, depuis quelque temps, j’ai réussi à faire comprendre à Lilou que j’aimais me faire « écraser » (même si on est loin de ce cas) par elle. Notamment par ses seins ou son ventre, en plus du cunnilingus forcé que l’on pratique parfois. C’est-à-dire Lilou, assise sur mon visage, sa chatte directement posée sur ma bouche.

L’envie d’être prisonnier

Oui, j’aime ce sentiment d’être bloqué. Ce sentiment de fusionner avec le corps de l’autre ou plutôt une partie de son corps. J’ai l’impression d’être submergé par sa présence et j’avoue que c’est vraiment très sympa. Ce n’est pas quelque chose que l’on fait tous les jours. Mais j’apprécie de partager ces petits moments de punition ou de gros câlins (tout dépend comment on voit les choses) avec elle. Et puis, le facesitting peut se mélanger à d’autres activités. Comme le cunnilingus, que j’ai précédemment cité ou encore l’urophilie. Autant de possibilité offerte par une pratique certes, particulière.

Mes premières expériences de facesitting furent assez spéciales… Devant un porno ! Et pour être honnête avec vous, ça ne me donnait pas vraiment envie. Souvent présenté dans un contexte BDSM, les femmes (ou plutôt les déesses), s’asseyaient avec violence sur des hommes démunis, le tout en hurlant des ordres en anglais avec des combi super sexy en cuir ou latex. Cela ne me donnait pas envie car, je ne suis pas une déesse, je n’aime pas hurler des ordres (encore moins en anglais) et je ne suis pas super sexy en cuir… Mais bon, comme souvent, mes opinions changent et évoluent dans le bon sens ! Dans le facesitting, je vois deux choses très intéressantes.

Le confort de la position

Ben oui mais c’est important quand même ! Être accroupie sur la figure de monsieur est assez agréable, on ne fait pas l’équilibriste et on ne risque pas de se vautrer avec en sus un grand écart non maîtrisé ! Ensuite, et surtout, on maîtrise tout, tout, tout et c’est là, le gros intérêt de cette position. Au lieu de se dire « pourquoi il fait comme ça ? » ou « pourquoi il ne change pas de rythme ? » , on a la maîtrise totale de son plaisir et de son orgasme.

Je peux tout contrôler

Si ça monte trop vite en flèche, je peux ralentir la cadence pour repousser l’orgasme ou encore si ça monte et que là maintenant, j’ai envie de jouir, j’accentue le plaisir pour jouir avec violence. Ce que je préfère dans les cunnis, c’est qu’on me lèche le clito, dès que la langue passe sur les lèvres, c’est sympa mais moins bien. Avec le facesitting, je fais en sorte que seul mon clito soit stimulé et les orgasmes qui en découlent sont très forts et très longs avec ensuite une sorte d’électrisation de tout mon appareil génital et c’est vraiment très bon.

Un peu de domination pour monsieur

Vous devez vous en douter mais c’est Mogwaï qui a amené ça entre nous, il adore être dominé mais ce n’est pas trop dans mon tempérament, il a donc fallu ruser. Contrairement à mes souvenirs de porn BDSM des années 2000, le facesitting est une bonne option pour dominer calmement. Chaque fois que je m’assois sur Mogwaï, il bande très dur, il adore ça. Il adore ce sentiment de soumission, et son incapacité de faire autre chose que de me lécher. Il aime sentir mon poids sur lui, ne plus respirer pendant quelques secondes…

Un temps d’adaptation

J’ai mis du temps à réellement me sentir à l’aise avec ça mais je pense que ça va ! Au début, j’y allais doucement, mais maintenant, je connais nos limites et je sais très bien jusqu’où je peux aller dans l’écrasement tout en prenant du plaisir. De plus en plus à l’aise, j’ai tenté les petites phrases coquines du genre « tu aimes ça petite salope ? » mais ça ne sert à rien, il n’entend pas…

Notre facesitting à nous

Nos séances de facesitting sont souvent très courtes, moins de dix minutes mais le plaisir et intense. Pour moi, je contrôle mon orgasme et le rend plus fort, pour Mogwaï, il ne peut résister à ma chatte trempée et ces petits moments de domination. À chaque fois, nous jouissons très fort et le must c’est quand nous jouissons à l’unisson et je suis la seule à pouvoir maîtriser cela !

Lilou
Le Facesitting : Double POV #9
Le facesitting : Double POV #9

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