Test du Cocksling de Oxballs

Pour ce nouveau test, je vous présente un produit un peu particulier, le Cocksling de Oxballs. Pour être franc, je ne suis pas fan du principe des Cockring, mais en même temps, je n’ai jamais essayé ce type d’accessoires. Vu que j’ai l’occasion de vous présenter un produit semblable, je me dis que c’est le bon moment de tester tout çà. Il est difficile d’expliquer ce qu’est exactement le Cocksling, car il s’agit d’un produit que je n’ai jamais encore vu, mais dans le principe, c’est une sorte de Cockring.

Packaging du Cocksling de Oxballs

Alors pour le coup, difficile de parler de packaging, puisque celui-ci est simplement livré dans un sac en polyéthylène sellé, sans aucune trace de la marque, sans stickers, sans la moindre indication sur la nature du produit. Une fois ouvert, rien d’autre que le produit en lui-même. Autant vous dire que vous pouvez offrir cet accessoire sans que personne ne se doute de son utilité.

Un packaging plus que cheap pour le cocksling de Oxballs !

Le manque d’une notice est dommageable car le produit n’est pas simple à utiliser et le manque d’instruction pour son entretien est un défaut. Pour ma part, Oxballs devrait faire l’effort de proposer un packaging plus attrayant pour le consommateur.

Aspect du Cocksling de Oxballs

Concernant son aspect, il est vraiment rouge, un rouge éclatant. Il présente sur deux de ses entrées, une sorte de petite digue, pensé pour le corpus spongieux du pénis. Cela permet ainsi de ne pas appliquer trop de pression sur l’urètre et de permettre l’éjaculation lorsque le Cocksling de Oxballs est porté. On peut voir également sur le Cocksling, la marque du produit sur le dessus (Oxballs) et en dessous avec « Cocksling » permettant de savoir ce qu’on a entre les mains.

L’entrée du pénis dans le cocksling de Oxballs

C’est un produit provenant des États-Unis, ne contenant pas de phtalates et compatible avec tout type de lubrifiant. Néanmoins, sa texture étant caoutchouteuse, je n’ai pas pris le risque de l’utiliser avec du lubrifiant. Je conseillerai tout de même un lubrifiant à base d’eau.

Les dimensions

D’une longueur de 5 cm pour un poids de 57 grammes, il offre un diamètre pour le trou des testicules de 3,17 cm, celui pour le pénis de 2,54 cm et pour le dernier, 2,85 cm. Mais son élasticité permet de s’étirer au moins 2 fois par rapport à sa taille d’origine.

Texture du Cocksling de Oxballs

Contrairement aux autres produits de chez Oxballs qui sont fait de silicone, le Cocksling lui est réalisé avec un caoutchouc thermoplastique (TPR), lui permettant ainsi d’être étirable jusqu’à plus de deux fois que sa taille d’origine. Le TPR est une matière saine, mais sûrement moins considéré que le silicone du fait qu’il soit légèrement poreux. Mais étant donné qu’il s’agit d’un produit non insérable, ce n’est pas un problème.

Vue du dessous du cocksling de Oxballs

Il présente une certaine odeur par rapport à la matière utilisée pour sa confection, mais après que celui-ci est pris l’air pendant quelques jours, celle-ci disparaît assez rapidement. La qualité de construction du Cocksling de Oxballs est dans l’ensemble bon. Il y a cependant quelques marques de lignes de moulures sur la surface, ce qui n’est pas parfait, mais on ne les remarque quasiment pas et ne sont pas dérangeantes sur l’élasticité du produit.

Utilisation du Cocksling de Oxballs

Pour l’utiliser, il est important de bien connaître sa bonne pratique de mise en place. Et c’est là qu’il y a un souci, puisque le packaging ne propose pas de notice. Mais le véritable souci, c’est qu’en cherchant sur Internet pour obtenir des informations concernant son utilisation, il y a au moins 90% de photos qui présentent le Cocksling de Oxballs porté à l’envers.

En effet, le Cocksling possède trois trous : un qui possède un large orifice à l’arrière, qui est prévu pour se coller à votre corps lorsque vous le portez, un trou rectangulaire sur le devant où le pénis sortira et un trou circulaire vers le bas dans lequel les testicules se placent. Une fois que vous avez bien compris çà, vous pouvez plus facilement comprendre la mécanique pour le mettre correctement en place.

Un produit étirable

Que vous soyez au repos ou en érection, vous pouvez le mettre en place. C’est justement grâce au caoutchouc thermoplastique, puisque celui-ci est étirable vous permettant ainsi de faire facilement passer votre pénis et vos testicules.

Le cocksling de Oxballs en caoutchouc thermoplastique

Au début, j’étais hésitant sur sa mise en place, mais l’élasticité du produit permet d’être largement étiré pour faciliter sa mise en place. Mais néanmoins, pour quelqu’un qui n’a jamais porté un cockring classique comme moi, la première mise en place n’est pas évidente. Tout réside dans l’élasticité du cocksling. Je vous conseille donc de vous habituer à la texture du produit en vous amusant à l’étirer dans tous les sens afin de vous rassurer sur sa mise en place définitive.

Attention à sa mise en place

Attention aux poils pubiens, notamment au niveau des testicules. Pour ma part, je n’ai pas eu de soucis étant donné que je me rase souvent cette partie. Mais si ce n’est pas le cas de votre côté, gardez un œil ouvert. D’ailleurs, le passage des testicules dans le trou circulaire est la partie la plus compliquée, une troisième main facilitera le travail, mais on peu après quelques essais le mettre en place tout seul.

Une fois le Cocksling de Oxballs en place, on peut dire que c’est plutôt confortable. Même pour quelqu’un qui n’a jamais porté d’accessoire écrasant quelque peu les testicules, on s’y fait dès la seconde utilisation. On ne se sent pas trop serré, juste assez pour ressentir une pression au niveau de la base du pénis et des testicules.

On peut d’ailleurs réajuster sa position une fois celui-ci installé sans difficulté, notamment pour la peau des testicules. Le port du cocksling permet d’étendre les testicules et de séparer le contact entre ces dernières et le bas du ventre. Les testicules sont ainsi plus sensibles.

Le point de sortie du pénis du cocksling de Oxballs

Conseils sur le port d’un cocksling

Attention, le cocksling étant proche du cockring, il est fortement conseillé de ne pas le porter plus de 30 minutes. Notamment afin de restaurer un afflux sanguin normal dans les parties génitales. Lorsqu’on le porte pendant une période prolongée (20 minutes), on peut se rendre compte facilement du moment où il est recommandé de l’enlever. En effet, les testicules deviennent froides au toucher.

Pour le retirer, même procédé que pour sa mise en place. Il suffit de jouer de son élasticité pour s’en défaire sans se blesser, en faisant toujours attention de ne pas écraser les testicules et tout poil pubien qui aurait pu se coller au produit. Par la suite, il suffit de le laver à l’eau chaude avec un savon antibactérien avant de le replacer dans votre collection de sex-toys pour une utilisation ultérieure.

Efficacité du Cocksling de Oxballs

J’ai utilisé ce Cocksling de Oxballs à plusieurs reprises et dans divers pratiques sexuelles. Mon premier essai fût en solo, pour une séance de masturbation. De part le fait que le cocksling retarde l’éjaculation et augmente l’afflux sanguin dans le pénis, l’orgasme est plus intense.

Expérience avec l’Aneros Helix

Je l’ai également utilisé dans une séance de masturbation avec un Aneros Helix en place. Même si l’Aneros est un masseur prostatique qui, lors de son usage, ne devrait pas être couplé à une stimulation du pénis, l’expérience m’a permis d’avoir un double orgasme simultané. Le premier venant du massage de la prostate avec l’Aneros et le second de la stimulation de mon pénis avec le cocksling en place.

Le truc rouge ou le cocksling de oxballs en main

J’ai pu également tester le produit en pénétration et en fellation, mais pour vous en dire plus, je laisse ma partenaire d’expérience s’exprimer à ce sujet.

Test du « truc rouge » ou du cocksling (par Lilou)

Avant d’aborder son utilisation, je vais vous parler de son aspect et vous comprendrez ainsi cette dénomination « truc rouge ».

J’ai sous mes yeux un objet à angle droit qui possède trois entrées. Imaginez un coin de rectangle. La première entrée se situant au sud, la seconde à l’est et la dernière dans le coin. Je ne comprends rien à l’utilité de ce produit et encore moins à son utilisation. Mon partenaire s’éreinte à m’expliquer comment le positionner pendant le repas. Capitulant il me dit « tu verras bien tout à l’heure ». N’étant pas totalement idiote, je visualise la scène mais ne conçois pas que mon amant puisse volontairement se broyer les couilles avec un truc rouge en caoutchouc thermoplastique…

Après une certaine gymnastique, l’objet est en place. La hampe passant par le sud et ressort par le nord. Et les testicules de mon partenaire ressortent par le fameux angle droit de mon coin de rectangle. C’est assez particulier. L’espace d’un instant je me dis qu’il doit se sentir à l’étroit dans ce truc rouge. Mais ces pensées sont vite chassées par la vision de ce magnifique sexe. Un sexe dur, très dur, dressé, prêt à me satisfaire ! Sa bite est belle, les veines de son sexe ressortent, j’ai envie de les caresser avec ma langue. Mais nous allons dans un premier temps tester ce produit en pénétration.

En pénétration

Le cocksling de Oxballs installé sur le pénis de mon amant, réduit la taille de pénétration d’un ou deux centimètres. Ceci me convient totalement car, je ne suis pas friande de pénétration trop profonde. Cet objet fut utilisé en missionnaire et en levrette. La première position m’a permis de frôler l’orgasme très rapidement avec ce fameux truc rouge qui au rythme des va-et-vient de mon amant me stimulait le clitoris et de plus, les testicules compressées et durs rebondissaient sur mon anus… quoi de plus pour éveiller mes sens ?! Pour ce qui est de la levrette, mon compagnon de chambre a pu me pénétrer avec toute la fougue dont il est capable, sans « tapage au fond » si peu agréables, de plus, dans ce sens, ses couilles durcies tapotaient mon clito en feu.

En fellation

Comme souligné précédemment, il confère à votre partenaire une verge dure, droite et saillante. Il est évident que dans ces conditions je me devais de tester ce produit accompagné d’une bonne pipe. Cet objet vous facilite la tâche car le sexe de votre compagnon est et reste dressé. Son gland est lisse, les veines de sa hampe sont gonflées et les testicules étirées. Autant de combinaisons que de jeux oraux ! Il y a cependant un inconvénient. Ma langue, dans un moment d’oubli, à glisser sur ce fameux truc rouge dont le goût est… fortement désagréable…

Cocksling en pénétration : Notre expérience

Voici notre retour d’expérience sur le cocksling en pénétration. Lilou et moi étions tous deux sur le canapé, profitant de ce début de soirée. Au bout d’un moment lorsque la nuit se montra, elle me demanda ce que j’avais reçu comme nouveauté dernièrement. En lui montrant mes derniers jouets, elle m’indique que le cocksling l’intrigue. Je lui présente l’objet et je tente de lui faire comprendre son utilité, mais elle ne saisit pas le concept de cet accessoire.

Ce soir, c’est soirée cocksling

Je lui dis que je lui montrerai le concept du cocksling, une fois qu’on sera au lit. Évidemment, nous n’avons pas tardé à nous diriger vers la chambre où celui-ci nous attendait. Une fois sous les draps, Lilou me demande de lui faire voir le cocksling et de le mettre sur moi. Je commence alors à enlever ma chemise, puis mon jean avant de terminer complètement nu. De là, je commence à entreprendre la mise en place du cocksling et vu qu’il n’est pas évident de le mettre seul, elle me tend une main pour m’aider dans cette tâche.

Un produit amusant, mais inquiétant

Elle trouve cela amusant, mais inquiète, me demande si cela fait mal, au moment où je place mes testicules dans le trou adéquat. Je la rassure tout en lui disant que je ne peux porter cet accessoire que pendant une vingtaine de minutes. À son sourire, je comprends que cela sera suffisant. Elle commence alors à me caresser le gland devenu très sensible à ses caresses dû à l’afflux de sang qui remontait en moi. Mon érection dure et ferme l’impressionnait. De là, elle commence à me lécher le bout du gland amenant à moi des sensations agréables, même avec le cocksling en place. Mais la fellation fut de très courte durée avant qu’elle me fasse signe de venir au-dessus d’elle.

Une érection au top

Une fois en position du missionnaire, je glisse mon sexe sur le sien mais sans la pénétrer. Je joue ainsi avec l’entrée de son vagin et son clitoris qui commençait à se réveiller. Elle me demande alors un peu de lubrifiant, ce que je m’empresse d’aller chercher. Appliquant la substance sur son sexe et sur le miens par la même occasion, j’entreprends alors l’insertion de mon sexe en elle, en gardant toujours une constante et forte érection grâce au cocksling.

Un orgasme qui arrive trop vite

En insérant mon sexe dans son intimité, je remarque que mon gland est très sensible. Les sensations que cela me procure sont très agréables, mais au fur et à mesure de la pénétration, cette sensibilité se dissipa peu à peu. Continuant mes va-et-vient, lentement puis avec plus de ferveur, c’est rapidement qu’elle me demande de m’arrêter quelques instants sous peine qu’elle jouisse trop vite.

Mes testicules frappent son clitoris

Dans cette position du missionnaire, mes testicules compressées et étirées par le cocksling, frappaient son clitoris à chaque pénétration m’a-t-elle dit. Je comprenais alors mieux les raisons de son orgasme imminent. Malgré çà, je continue de la pénétrer, parfois doucement, parfois plus brutalement, jouant avec sa limite de plaisir. Plusieurs fois elle me dit qu’elle est à deux doigts de jouir, de cette information, je joue avec elle.

Le choix de la levrette

Puis, elle me demande de la prendre à quatre pattes comme une chienne. Une position lui permettant ainsi de caresser mes testicules pendant la pénétration. Je la prends alors avec force, avec grande rapidité, le cocksling retardant mon éjaculation, je pouvais profiter de ce moment. En quelques minutes de pénétration intense, je la sens venir vers l’extase. D’un coup, sa respiration s’accélère. Son plaisir commence à la submerger. Son intimité s’humidifie rapidement et en abondance, avant qu’elle obtienne un puissant orgasme.

Je retire le cocksling

Après avoir fait quelques va-et-vient pendant son orgasme, je sors ma queue de son vagin. Puis je retire le cocksling qui commençait à devenir gênant pour la suite. Étant donné que je l’avais déjà porté pendant quasiment une demi-heure, c’était le moment. À présent libre, mon sexe retrouve sa liberté de mouvement. J’enfonce celui-ci en elle. Le plaisir s’en ressent rapidement dû à cette différence entre le moment où je portais le cocksling et le moment où je l’ai enlevé.

Le moment de l’éjaculation

Je la pénètre ainsi pendant quelques minutes, d’une rapidité rarement vue jusque-là, comme un véritable lapin. Le plaisir monte en moi. Je sens alors l’envie de jouir à mon tour et à l’arrivée du point de non-retour. Je continue quelques coups avant de sortir mon sexe et d’éjaculer sur ses chaudes fesses.

Après avoir retrouvé nos esprits, elle me dit oh combien cette partie de jambe en l’air était excellente. « J’en garde le clitoris qui frétille » me dit-elle. « Sympa ton nouveau jouet« . « Il est moche, mais il est efficace« … Nul doute qu’on s’en resservira…

Conclusion sur le cocksling

Même si la première approche du produit ne m’a pas convaincu, cet accessoire est plutôt bon. Notamment sur son design et son packaging. Mais aussi par l’inquiétude de sa mise en place pour cette première à présent passée. N’ayant jamais porté de cockring classique, je ne pourrai pas faire de comparaison. Mais de par son élasticité, il a le mérite d’apporter quelque chose de nouveau et devient tout de même agréable à porter une fois qu’on s’habitue à la pression de celui-ci.

Le défaut du Cocksling de Oxballs vient finalement de son packaging trop léger et du manque de notice d’utilisation. Son odeur lors du déballage n’est pas très agréable, mais celle-ci se dissipe rapidement. Notamment après avoir laissé le sex-toy à l’air pendant 24 h.