Les signes d’appartenance du D/S. Sujet très vaste, très intéressant, mais dans lequel, à ce jour, je ne me sens pas totalement proche. Il faut dire que malgré les apparences, je ne suis que débutant dans la pratique des jeux de soumission et de domination. Du coup,  le monde et les signes d’appartenance me fait encore défaut. Bien évidemment, si vous me reposez cette même question dans 6 mois où 1 an, il y a de fortes chances que mon avis est changé entre-temps. Mais ce n’est pas pour autant que je ne m’efforcerai pas d’en faire un article, impossible d’y faire abstraction.

Les signes d’appartenance dans la domination et la soumission

Il est un fait, les signes d’appartenance dans les jeux de soumission et de domination sont très appréciés dans ce domaine. Du simple collier accompagné de sa laisse, aux cages de chasteté jusqu’au bijou anal que l’on porte pour son dominant, en public ou en privé. Il existe même des signes d’appartenance permanents, comme le piercing ou le tatouage. Pour ma part, les signes d’appartenance permanents ne sont pas vraiment en adéquation avec ma vision des choses. Mais certains vont jusque-là pour montrer à leur dominant, leur totale dévotion. C’est presque un signe de grande confiance. Néanmoins, cela me dérange personnellement pour mon propre cas.

L’accessoire et les signes d’appartenance

L’accessoire d’appartenance montre clairement le rôle de chacun et ceci à tout moment lorsqu’il s’agit des signes d’appartenance permanents. Mais l’élément sur lequel je suis le plus à l’aise pour en parler et surtout, là où j’ai pu expérimenter la chose, c’est le collier. Qu’il soit de cuire ou en vinyle, c’est sans doute le symbole le plus fréquent d’appartenance. En effet, celui-ci n’est pas permanent et n’engage à rien. Le soumis l’attache autour de son cou ou le dominant l’attache pour lui.

Cependant, il existe différents colliers. Ceux qui s’attachent et se détachent à l’aide d’une simple boucle (comme une ceinture) et ceux qui se ferment avec un cadenas et des clés. Ici, aussi, deux différences majeures d’appartenance. Dans tous les cas, le collier peut servir à de multiples usages. Lorsqu’il est accompagné d’une laisse (ce qui n’est pas tout le temps le cas), celle-ci peut être enroulée à un pied-de-table par exemple voire même prêté temporairement à ceux plus libertins, mais tout en prenant soin d’être en accord avec le contrat signé au préalable.

Le journal de la domination

On peut également parler d’une sorte de journal de la domination et du soumis. Nombreux soumis tiennent un journal où ils font écho de leurs fantasmes , leurs émotions, toute l’idolâtrie qu’ils ont pour leur dominant. Néanmoins, il existe bien d’autres signes d’appartenance, mais il serait inutile pour moi de les citer un à un. J’ai toute la liberté de pouvoir reparler de ce sujet dans un prochain article.