Cette première expérience d’urophilie en couple vient compléter la vision des choses de mon point de vue de l’expérience écrite par Lilou, « je pisse debout ou comment j’ai pissé sur mon mec« . Voici donc un sujet qui dans mon adolescence et la découverte de mes premières vidéos pornos me débectait. Ce concept ne m’attirait absolument pas. Je trouvais çà dégoûtant. Pourtant, je dois vous avouer que j’ai expérimenté, il y a peu, cette pratique.

Oui, moi qui à la base, n’était pas du tout attiré par l’urophilie, j’ai enfin osé. Alors certes, çà ne s’est pas fait en un jour. J’ai dans un premier temps, exprimé à Lilou, cette curiosité il y a plusieurs mois. De quoi lâcher l’information, le temps qu’elle digère. Et c’est uniquement à ce jour qu’on s’est lancé. Pourquoi ? A vrai dire, je ne sais pas ! Une idée comme çà, une vieille envie de curiosité, quoi qu’il en soit, c’était la journée adaptée à la demande de cette première expérience d’urophilie.

Ma première expérience d’urophilie en couple : Les préparations

urophilie : les préparations

J’ai donc demandé à Lilou de boire pendant la matinée. Jusqu’à 1 litre et demi, car je souhaitais expérimenter quelque chose de vrai, pas simplement un résumé. C’était comme une sorte de punition que je lui infligeais. Boire jusqu’à avoir envie de pisser n’importe tout. D’un côté, j’avais l’impression de contrôler une partie de sa volonté et d’autre part, je construisais ma future expérience d’urophilie.

Je lui glissai entre deux gorgées d’eau, que je désirai qu’elle m’urine dessus. C’était lancé. Mais pas seulement ! Je voulais qu’elle se touche pendant ce moment que je désirais. Qu’elle se frotte à moi, qu’elle y prenne du plaisir. Je dois avouer que part la même occasion, j’espérai aussi libérer un peu son esprit sur cette pratique que nous n’avions jamais essayée. Depuis un moment, je fantasme sur le fait qu’elle puisse connaître une éjaculation féminine et je me suis dit que pratiquer une telle expérience pourrait peut-être lui faire sauter une barrière psychologique.

Ma première expérience d’urophilie en couple : La pratique

urophilie : la pratique

Une fois qu’elle fut bien remplie d’eau, elle m’annonce qu’elle ne peut plus se retenir. Direction la douche pour ce premier essai d’urophilie, c’est le meilleur endroit que j’ai trouvé pour pratiquer. On se retrouve alors dans la douche, elle cherche à allumer l’eau, mais je l’arrête de suite. Je n’ai pas envie de mélanger l’eau à l’urine, à quoi bon expérimenter une chose, si c’est pour l’expérimenter à moitié ? On commence alors à se toucher, j’attrape mon sexe, me masturbe pendant que nos corps entrent en contact. Elle me dit calmement « Je suis prête, tu veux procéder comment ? J’ai très envie de pisser« .

Je compris alors qu’elle ne se doutait pas de la manière dont je souhaitais qu’elle procède. J’ai commencé à me placer entre ses cuisses. Je sentais la chaleur de celles-ci contre mes joues, elle ne comprenait pas bien ce que je faisais, puis peu à peu, elle se rendit compte de la situation. « Tu as envie que je te pisse vraiment dessus en fait! » « Évidemment, lui répondis-je! » « Je veux que tu me pisses dessus, sur mon corps, mon sexe, mon visage, partout ! » Surprise, elle commence petit à petit à accepter l’idée, à me laisser accéder à son entre-jambes.

Ma première expérience d’urophilie en couple : Les sensations

urophilie : Les sensations

 

De mon coté, je sentais la chaleur de sa peau sans savoir s’il s’agissait déjà de la chaleur de son urine. J’étais excité de ne pas savoir à quel moment elle allait se lâcher. Mais après une dizaine de secondes, je ressens une sensation de chaleur liquide me parcourir le torse, quelques gouttes au début, puis un peu plus, à un débit réduit, mais terriblement excitant pour moi.

Pour moi, c’est psychologiquement comme-ci elle m’éjaculait dessus, d’où ma demande qu’elle se touche un minimum et qu’elle y prenne du plaisir. Mais d’un coup, une fois ma bouche proche de sa chatte, elle commence à lâcher les vannes. Je n’étais pas parti pour accueillir son liquide en bouche, mais l’excitation forte que je ressentais me poussa à le faire, sans pour autant l’ingurgiter. Je sentais son liquide parcourir mon visage, ma bouche, mon torse et ma queue, alors que je continuais de me masturber. La chose que je redoutais s’est très vite échappée. En effet, l’appréhension de l’odeur et du goût de l’urine était un élément rebutant, mais en réalité, vue que Lilou avait bu plus d’un litre d’eau avant, c’était quasiment de l’eau, légèrement chaude.

Une sensation agréable et surprenante ! J’étais réellement excité, à un niveau encore rarement vu. Le flot s’arrêta au bout d’un moment, mes hormones étaient en ébullition, mais je n’ai pas cherché à me faire jouir. L’expérience vécue était juste incroyable. Je ne pensais pas y prendre autant de plaisir et je dois vous avouer qu’à peine 20 minutes plus tard, j’avais envie de réitérer l’opération. Ça m’a provoqué quelque chose d’assez profond alors que je ne m’y attendais pas. C’est difficilement explicable, mais j’ai senti un sentiment de soumission, dominée par Lilou qui ne s’est pas débiné. J’étais plongé dans une sorte d’orgasme psychologique pendant un instant.

Ma première expérience d’urophilie en couple : Conclusion

urophilie : conclusion

Si je peux vous dire une chose, c’est qu’il faut vraiment essayer quelque chose avant d’y porter un jugement. Si vous êtes un minimum ouvert d’esprit, vous savez qu’il est raisonnable d’agir ainsi. Essayer quelque chose avant de juger. Je n’avais pas de répulsion majeure à cet acte, simplement un doute, un désir curieux. Finalement, au moment où je vous écris cette expérience d’urophilie, c’est devenu un acte que je souhaite pratiquer plus d’une fois. Ça m’a ouvert une autre dimension.

J’ai encore un peu de mal à contrôler cette nouvelle envie naissante, mais c’est vraiment quelque chose à essayer. C’est bien loin de ce que je pouvais me faire comme idée de la chose. En tout, dans la même journée, c’est à 5 reprises que Lilou a uriné sur moi. Nous venions de découvrir cette pratique et avions besoin d’expérimenter celle-ci, de se sentir plus à l’aise et finalement, la dernière séance d’urophilie de la journée fut celle de l’orgasme libérateur pour moi. Drôle d’expérience tout de même.